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Voilà des années que la course à la digitalisation est lancée auprès du secteur bancaire en offrant un sérieux avantage pour les banques numériques. Une raison suffisante pour inciter Salesforce, un spécialiste américain du CRM, à dire que les établissements classiques ont intérêt à accélérer les pas pour rattraper leur retard en misant essentiellement sur le cloud.
Les banques ne cessent de concevoir des produits visant à répondre au mieux aux besoins de leurs clients. Mais ces derniers temps, leurs initiatives semblent se tourner vers une nouvelle cible : les voyageurs. En effet, on assiste actuellement à la montée en puissance des offres liées à la mobilité internationale, que ce soit du côté des établissements bancaires classiques qu’au niveau des banques en ligne.
Environ un français sur cinq se dit insatisfait des services de sa banque actuelle. Les professionnels du secteur s’attendaient alors à ce que les changements de succursale se multiplient, d’autant plus que l’entrée en vigueur de la loi Macron a nettement facilité la mobilité bancaire. Quoi qu’il en soit, il n’en sera finalement rien ou presque.
Alors que de nombreuses banques à l’image de Société Générale, se réinventent au gré des avancées numériques ou d’une nouvelle alliance en fermant certaines de leurs agences, Crédit Mutuel ne souhaite toujours pas opérer de changement à son réseau physique. Pour autant, l’enseigne bancaire mutualiste entend procéder à quelques optimisations pour se démarquer.
Dans le cadre de son enquête de conjoncture, l’Autorité bancaire européenne (EBA) a fait un état des lieux de l’état de santé du secteur bancaire du Vieux continent. Le bilan est quelque peu inquiétant selon ce régulateur s’attendant à affronter le pire dès l’année prochaine pour l’inciter à mettre sur pied une stratégie qui devrait limiter les dégâts.
Le rapprochement avec les enseignes Crédit du Nord validé, Société Générale entame un ambitieux programme de réorganisation de son activité de banque de détail. À l’issue de ce processus, le groupe ambitionne de réduire sa base de coûts, optimiser sa rentabilité et continuer à satisfaire pleinement les besoins de sa clientèle.
Après avoir fait l’acquisition à hauteur de 62 % de CNP Assurances, la Banque Postale poursuit sa transformation.
Il fut surement un temps où, pour les établissements bancaires, organiser des réunions entre collaborateurs ou des entrevues avec des clients par le biais de la visioconférence était apparenté à de la fantaisie. Mais depuis le coronavirus, l’appel vidéo s’impose comme étant un outil indispensable et le moyen le plus efficace de maintenir la proximité avec le client.
Pour l’heure, la start-up Lydia se cantonne aux services de paiement. Mais la fintech ne manque pas d’ambitions ni d’investisseurs. Aujourd’hui, après un autre tour de table rondement mené, Lydia est en passe de concrétiser un des objectifs qu’elle s’est fixés, à savoir étoffer son catalogue de services et, à terme, devenir une banque mobile à part entière.
La tendance actuelle des banques françaises à facturer des services, auparavant gratuits, semble avoir déteint sur leurs voisins belges. Argenta vient de présenter sa nouvelle politique de tarification qui entrera en vigueur dès l’année prochaine. Les clients auront le choix entre plusieurs formules, attention tout de même de bien analyser les offres.
Elles ont fait une entrée fracassante dans l’univers de la finance, mais avec un modèle économique qui tarde à porter ses fruits et la crise financière qui perdure, les néobanques sont plus que jamais sous la menace de la faillite. Même si elles ont confiance en leur stratégie de développement, le temps est surement venu d’envisager d’autres approches.
Le secteur bancaire est en pleine mutation, si les transactions financières requéraient auparavant un passage du client en agence, il est aujourd’hui possible d’initier ces opérations via un Smartphone. Ainsi, les opérations se font plus rares auprès des agents, et ce qui poussent les groupes bancaires à procéder progressivement à leur fermeture.
Le plan d’épargne retraite a été lancé il y a un an et les assureurs et les banques en ont fait leur offre vedette. Ce nouveau produit a su attirer de nombreux épargnants et enregistre actuellement plus de deux milliards d’euros d’encours. Toutefois, certaines associations protectrices des droits des consommateurs appellent à la prudence.
Le cabinet de Deloitte a publié, au début du mois de septembre dernier, les résultats de son enquête portant sur le niveau de satisfaction des Français vis-à-vis de leurs banques. Si lors des études précédentes, une grande partie des clients bancaires n’étaient pas contents des services rendus par leur succursale, cette année ils ont été nombreux à avoir changé d’avis.
Une étude récente s’est penchée sur la qualité des services offerts par les banques en ces temps de crise et, plus particulièrement, pendant le confinement. Lors de cette période trouble, aussi bien les établissements traditionnels que les néobanques ont dû se reposer massivement sur leur plateforme digitale. L’enquête révèle quelles banques ont été performantes et quelles étaient les mauvaises élèves.
La lutte contre le réchauffement climatique n’entre pas jusqu’ici dans la liste des priorités des établissements bancaires américains. Contrairement à leurs homologues européens, ceux-ci ne se sentent pas trop concernés par la transition écologique.
La crise sanitaire a contribué à booster le marché des paiements numériques. Afin de renforcer leurs positionnements, les acteurs du secteur misent sur la fusion, une stratégie adoptée par un grand nombre d’entreprises européennes spécialistes des paiements.
Aujourd’hui, il existe plusieurs méthodes d’authentification forte pouvant protéger les consommateurs contre les fraudes au paiement. Malheureusement, bon nombre de banques ne proposent toujours pas ce niveau de protection. Pire, lorsqu’un client est victime de fraude, elles invoquent la négligence pour éviter le remboursement. L’enquête de l’UFC-Que Choisir devrait faire bouger les lignes.
À l’instar des banques traditionnelles européennes, avec l’avènement des néobanques, les succursales classiques gabonaises doivent aussi faire face à de nouveaux concurrents, les sociétés de microfinance. Bien que les établissements bancaires traditionnels restent pour le moment les leaders du marché, leurs nouveaux rivaux commencent à gagner du terrain, en atteste la hausse de leur clientèle.
Les établissements financiers classiques font face à une nouvelle vague de concurrents en la personne des néobanques et des néoassurances. Les services numériques de ces derniers leur ont permis de gagner des parts de marché. Les sociétés traditionnelles doivent ainsi innover et entamer leur processus de digitalisation pour assurer leur pérennité.
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