Que l'on soit un micro entrepreneur ou dirigeant d’une société à capital social, ouvrir un compte bancaire pro dédié à ses activités professionnelles est bien souvent indispensable, voire même obligatoire. Il est d’ailleurs fortement recommandé d’en détenir un pour limiter tout risque de confusion fiscale et comptable. Ouvrir un compte pro permet de bien scinder les transactions privées de celles d’ordre professionnel. En optant pour un compte pro en ligne, le professionnel profite de nombreux avantages : économies sur les frais bancaires, gestion en ligne simplifiée, ou encore de nombreux services et fonctionnalités dédiés, comme la mise à disposition d’un terminal de paiement par exemple.
Blank, Qonto, Shine, Hello Bank... Les banques en ligne et banques mobiles proposant des offres dédiées aux professionnels se multiplient. Pour vous aider à faire le point et trouver la meilleure offre selon votre statut et vos besoins, Meilleurtaux Banques met à votre disposition un comparateur gratuit des meilleures banques pro en ligne.
Que l’on souhaite se lancer dans l’aventure de l’entreprenariat ou que l’on possède déjà une société établie, la création puis la gestion d’un compte professionnel sont des questions centrales. En effet, au-delà du côté pratique du compte pro, le fait d’en détenir un est une obligation légale pour certaines formes juridiques d’entreprise. Ainsi, toutes les sociétés à capital social, comme les SA, SARL, SAS, SCI, SELARL, ou encore les EURL, doivent obligatoirement ouvrir un compte bancaire afin d’y déposer le capital social et donc finaliser la création de la société.
Cette exigence ne s’applique cependant pas aux entreprises individuelles, car elles n’ont pas de capital social. Il est néanmoins conseillé aux micro-entrepreneurs d’ouvrir un compte dédié à leur activité pour séparer plus facilement les dépenses personnelles des dépenses professionnelles. Depuis la loi Pacte de 2019, il s’agit d’ailleurs d’une obligation si le chiffre d’affaires dépasse 10 000 euros deux années de suite.
A noter qu’en pratique, il n’est pas nécessaire d’ouvrir un compte professionnel. Un compte individuel classique distinct du compte personnel habituel suffit, du moment que les transactions issues de l’entreprise ne sont pas mélangées aux opérations personnelles.
Bon à savoir Outre la simplification de la trésorerie et une meilleure lecture de son activité professionnelle, le compte bancaire professionnel peut faciliter une éventuelle opération de contrôle fiscal
Même s’il n’est pas forcément obligatoire, un compte professionnel sera toujours plus intéressant pour un indépendant ou une entreprise qu’un compte classique. Que le compte professionnel soit ouvert dans une banque traditionnelle, une banque en ligne ou une fintech spécialisée, le client profite toujours d’un socle de services de base : un compte bancaire avec un RIB et une carte de paiement internationale, la possibilité d’effectuer et de recevoir des virements, et de mettre en place des prélèvements. Le compte et la carte se pilotent depuis un espace client et/ou une application mobile.
Ensuite, en fonction de l’offre choisie et d’un tarif mensuel plus élevé, le professionnel a accès à davantage de fonctionnalités. Par exemple, les plafonds de paiement et de retraits de sa carte sont plus élevés, il est couvert par plus d’assurances et de garanties, il peut bénéficier de moyens de paiement et d’encaissement plus variés (cartes additionnelles et/ou virtuelles, chéquier, terminal de paiement, service de vente à distance…), de lignes de trésorerie (affacturage, escompte, crédit à court terme), de solutions d’épargne pour les professionnels, de l’accompagnement d’un conseiller personnalisé et spécialiste du marché des pros, etc.
Les acteurs en ligne incluent souvent dans leurs formules des outils pour faciliter la comptabilité de leurs clients. Qonto permet par exemple de scanner ses justificatifs (reçus, factures…) et de les relier aux opérations concernées dans l’historique de compte. Shine propose un outil de facturation qui aide les professionnels à réaliser des factures et devis en quelques clics, et à automatiser les relances client. Anytime fournit également un logiciel de facturation similaire. La plupart des offres permettent par ailleurs d’exporter les opérations du compte pour les transmettre facilement à un expert-comptable.
La clientèle professionnelle a longtemps été la chasse gardée des établissements traditionnels : banques nationales (Société Générale, BNP Paribas, La Banque Postale, LCL, CIC…) et de réseau (Crédit Agricole, Caisse d’Épargne, Crédit Mutuel, Banque Populaire). Toutefois, depuis quelques années, à l’instar des offres pour les particuliers, des acteurs en ligne se sont positionnés sur ce marché à fort potentiel.
On trouve tout d’abord les banques en ligne, comme Boursorama Banque, Monabanq, N26 ou encore Hello bank, qui ont développé des formules dédiées aux professionnels en parallèle de leurs offres pour les particuliers.
D’autres ont choisi de se spécialiser dans les comptes dédiés aux entreprises. C’est le cas par exemple de Qonto, Shine, Anytime, et Blank. Ces fintechs ne sont toutefois pas à proprement parler des banques en ligne, mais des établissements de paiement ou des agents prestataires de services de paiement. Les fonds qui leur sont confiés sont déposés chez des banques partenaires, et garantis à hauteur de 100 000 euros par compte et par personne.
En ouvrant un compte pro en ligne vous profitez d’offres moins chères que dans les établissements traditionnels.
Attention Attention, si une offre de compte pro en ligne vous plaît, vérifiez bien que votre entreprise y est éligible. Certaines banques en ligne ou fintechs n’acceptent que certaines formes juridiques de société. Ainsi, Boursorama, N26, Monabanq et Hello bank réservent leurs formules aux micro-entreprises. Les autres acteurs, spécialisés dans les comptes pros, acceptent logiquement davantage de statuts : SA, SAS, SARL, SCI, EURL, etc.
Utiliser un comparateur des banques pour connaître et donc évaluer les tarifs d’un compte professionnel n’est pas chose aisée avec les banques traditionnelles. Même si ces dernières publient des plaquettes tarifaires dédiées, elles n’indiquent pas les coûts de toutes les prestations, et invitent les personnes intéressées à les contacter.
En pratique, les banques font varier leurs tarifs en fonction de leurs clients et de leur chiffre d’affaires, de la nature de leur activité, etc. Les acteurs en ligne revendiquent au contraire la transparence, notamment s’agissant de leurs prix, et leur site permettent même de comparer facilement les services inclus dans leurs différentes formules. Un critère essentiel, étant donné que la tarification diffère qu’il s’agisse d’un compte pro pour les auto-entrepreneurs ou d’un compte pro pour une plus grosse société.
En moyenne, les formules dédiées aux indépendants coûtent moins d’une dizaine d’euros par mois. Pour les entreprises individuelles N26, affiche par exemple une offre à 0 euro (N26 Business Standard). À ce prix cependant les services inclus sont limités (dépôt de chèque impossible, retraits facturés en zone euro au-delà de trois par mois...). C’est donc une formule qui ne convient pas à tous les profils.
Concernant les TPE, PME et entreprises en général, les prix s'échelonnent plutôt d’une trentaine d’euros à plusieurs centaines d’euros pour les plus grosses entreprises. Au moment de comparer les prix, il faut bien regarder les services compris dans chaque formule. Une offre à un tarif très avantageux peut inclure des plafonds de paiements et retraits limités, ou même des commissions élevées pour certaines opérations courantes (retraits, virements, encaissements de chèque…). Toutes ne proposent pas de chéquier, de découvert ou de terminal de paiement mobile, par exemple.
Il faut savoir que ce sont les prestations incluses qui impactent majoritairement le prix du compte : carte bancaire haut de gamme, nombre de virements et de retraits gratuits, cartes virtuelles en supplément, prise en charge du dépôt de capital, etc.
Les banques mobiles Revolut (offre Revolut Business Free) et N26 (offre N26 Business Standard) sont les seules à proposer à leurs clients des offres entièrement gratuites.
Cependant, ces formules sont assez limitées. Par exemple, avec N26 Business Standard, vous ne pouvez ni disposer de carte physique, ni profiter de sous-comptes pour gérer votre budget. Et avec Revolut Business Free, aucun outil d’analyse ni paiements groupés ne sont compris.
Les banques mobiles Finom (offre solo) et N26 (offre Business standard carte virtuelle) sont les seules à proposer à leurs clients des offres entièrement gratuites. Toutes deux intègrent un outil de facturation via leur application. Ces formules sont toutefois réservées aux entrepreneurs individuels.
Les établissements bancaires qui proposent des comptes professionnels sont nombreux. Toutes les banques ou presque ont ainsi une offre dédiée aux professionnels. En optant pour un compte professionnel en ligne, il y a plusieurs avantages à la clé pour la gestion de son entreprise au quotidien.
Premier avantage des offres professionnelles dématérialisées : le prix. Dans les établissements bancaires traditionnels, il n’est pas rare de voir des clients payer une centaine d’euros mensuels. À ce prix bien entendu, on ne parle pas uniquement du tarif pour disposer d’un compte bancaire, mais également d’un bouquet de services complets, avec notamment un conseiller dédié.
Mais certaines banques en ligne et néobanques proposent des offres dédiées aux professionnels à partir de 0 euro par mois. Puis, en fonction des besoins et de l’évolution de l’entreprise, il est possible de faire évoluer le compte et de le rendre plus complet avec des offres plus chères.
Attention Attention toutefois à bien comprendre tout le détail des frais bancaires. Il ne suffit pas de se limiter seulement au coût mensuel fixe nécessaire pour obtenir un compte professionnel. Il faut s’intéresser au coût en détail, opération par opération. Par exemple, le montant des frais sur les paiements et retraits, sur les virements, sur la cotisation de carte bancaire... Certaines banques appliquent un forfait sur certains mouvements, tandis que d’autres appliquent des frais avec un pourcentage de l’opération.
Selon que l’on dispose d’un compte professionnel en ligne pour une petite ou une moyenne entreprise, ou que l'on soit un artisan/commerçant travaillant de manière indépendante, un compte professionnel va permettre de donner un accès sans risque à un collaborateur étant habilité à gérer les comptes au nom de l’entreprise. Il est possible de nommer éventuellement des mandataires et co-titulaires. Il peut s’agir d’un salarié en charge des finances (comptable, assistant de direction...) ou bien d’un associé, qui possède un pouvoir d’action.
Dans les banques en ligne, il est possible de profiter d’une interface claire et d’une application mobile permettant en un seul coup d’œil de vérifier si les règlements des fournisseurs ont été effectués et les encaissements pris en compte.
Qui dit banque en ligne ou néobanque dit plus de liberté et d’autonomie dans la gestion de son compte professionnel. Pour autant, il ne faut pas négliger les services annexes disponibles selon son secteur d’activité. Par exemple, si l’on effectue régulièrement des dépôts d’espèces ou de chèques, il est primordial de se renseigner sur la procédure en place dans l’établissement bancaire en ligne choisi. En effet, certaines banques refusent purement et simplement l’encaissement de chèques.
De même, si l’on gère un établissement recevant du public (restaurant, magasin...) et que l’on doit encaisser des paiements par carte bancaire, mieux vaut regarder ce service. Certaines banques en ligne proposent des terminaux de paiement, sans que l'on ait à trouver soi-même un prestataire indépendant. Une solution qui peut permettre de faciliter le quotidien.
Toujours en matière de services, il convient de s’informer quant aux facilités qui peuvent être proposées : découvert autorisé, offre de crédit, plafonds de paiement ou encore services de conseil en gestion et placement.
Avant de faire un choix sur l’établissement, il est essentiel de dresser la liste de services attendus et de vérifier que ce dernier y répond bien.
Parmi toutes les cartes proposées, on distingue deux types de carte : les cartes classiques (Visa et Mastercard Business) et les cartes premium (Visa Infinite Business ou World Elite Mastercard Business). Comme pour les particuliers, plus la carte est d’une gamme élevée, plus les services et assurances inclus sont avantageux.
Quelques établissements se limitent à la commercialisation d’une seule carte bancaire, tandis que d’autres proposent généralement des cartes de gammes différentes. Si Boursorama (Visa Ultim) et manager.one (Visa Business) ne mettent à disposition de leurs clients pro qu’une seule carte possible, Qonto propose pour sa part la carte One, la carte Plus et la carte X Metal. Tandis que N26 affiche pas moins de quatre cartes : N26 Business, N26 Business Smart, N26 Business You, N26 Business Metal.
Pour faire son choix, là encore, tout dépend de l’activité de son entreprise. Si l’on est amené à faire des déplacements professionnels réguliers disposer d’un plafond élevé va être primordial. Généralement, les plafonds de paiement et de retraits sont modulables afin de les ajuster au mieux à ses besoins.
En fonction de la gamme de la carte, les plafonds de paiement peuvent aller jusqu’à 60 000 euros par mois (offre Corporate de Finom), tandis que les plafonds de retrait peuvent atteindre 15 000 euros par mois (offres Pro Plus et Pro Excellence de Fiducial Banque).
Avant toute chose, il est recommandé de comparer les offres entre elles pour savoir laquelle répond le mieux à ses besoins.
Avec les banques en ligne et les néobanques, les procédures pour ouvrir un compte sont simplifiées. Tout commence en général par un formulaire sur Internet. Quelques minutes suffisent pour remplir la demande d’ouverture de compte sur ordinateur ou mobile et renseigner les informations nécessaires sur le client et son entreprise. /p>
Ensuite, la majorité des banques en ligne exigent plusieurs justificatifs indispensables pour l’ouverture d’un compte pro. Dans un premier temps, un justificatif d’identité du dirigeant ou du chef d’entreprise est évidemment nécessaire. Il peut s’agir d’une carte d’identité, un passeport ou une carte de résident en France.
La banque demande également un justificatif d’immatriculation de l’entreprise. Pour les sociétés, on parle d’extrait Kbis ou extrait K, pour les entreprises individuelles. Concernant les artisans, un certificat d’immatriculation au répertoire des métiers est bien souvent demandé. Si l’on exerce en société, une copie des statuts est aussi souhaitée.
Il faut transmettre un justificatif d’utilisation du local, si l’activité est exercée dans un local professionnel, en lieu et place du siège social. Il peut s’agir ici d’une copie du bail commercial, une copie du contrat de domiciliation commerciale ou attestation de domiciliation à l’adresse personnelle du dirigeant (accompagnée d’un justificatif de domicile de moins de 3 mois).
Par ailleurs, en cas de dépôt du capital social en ligne, l'établissement bancaire exige aussi la copie d’un justificatif d’identité pour chaque associé souscripteur d’actions ou de parts sociales. Et ce, même s’il n’exerce aucune fonction de direction.
Tous les professionnels ne sont pas concernés par l’obligation d’ouvrir un compte pro, dédié à leurs activités. Les micro-entrepreneurs et autres entrepreneurs individuels peuvent tout à fait se contenter d’ouvrir un second compte courant, pour les particuliers. À l’inverse, en tant que société disposant d’un capital social société anonyme (SA), société par actions simplifiées (SAS), société à responsabilité limitée (SARL), entreprise unipersonnelle à responsabilité limitée (EURL), il est impératif d’ouvrir un compte professionnel pour obtenir le certificat de dépôt de fonds.
Le coût d’un compte pro en ligne varie de 0 à plusieurs centaines d’euros, en fonction des services souhaités et de la gamme de la carte bancaire. Il est possible de retrouver chez Finom et N26 des offres 100% gratuites pour les auto-entrepreneurs notamment, tandis que chez Qonto et Shine l’offre de base est proposée pour une dizaine d’euros par exemple. Si l’on souhaite bénéficier de services premium (conseiller dédié, dépôt de chèques ou d’espèces en illimité, etc.) il faudra débourser entre 100 et 300 euros par mois.
Généralement, le professionnel remplit un formulaire en ligne qui varie selon les banques. Il fournit alors ses coordonnées, son adresse, le siège de l’entreprise le cas échéant, la nature de son activité, etc. Le nombre de justificatifs varie selon le type d’entreprise. Les documents de base sont la pièce d’identité du dirigeant, le justificatif de domicile de moins de 3 mois, les statuts ou le projet de statuts, l’extrait kbis ou fiche INSEE (numéro SIREN, code APE), le justificatif d’immatriculation… L’établissement peut aussi demander un business plan ou encore la déclaration de revenus du dirigeant.
En général, le professionnel remplit un formulaire, qui varie selon les banques, avec ses coordonnées, son adresse, le siège de l’entreprise le cas échéant, la nature de son activité, etc. Le nombre de justificatifs varie selon le type d’entreprise. Les documents de base sont la pièce d’identité du dirigeant, le justificatif de domicile de moins de 3 mois, les statuts ou le projet de statuts, l’extrait kbis ou fiche INSEE (numéro SIREN, code APE), le justificatif d’immatriculation… L’établissement peut aussi demander un business plan ou encore la déclaration de revenus du dirigeant.
La grande majorité des banques refusent d’ouvrir un compte professionnel à une personne fichée à la Banque de France. Si un professionnel est “interdit bancaire”, il peut alors s’adresser à des établissements de paiement, tels que Qonto ou Shine, puisque ceux-ci permettent aux interdits bancaires d’ouvrir un compte. Cependant, ces établissements n’étant pas des banques, ils ne peuvent délivrer de crédits eux-mêmes. Les fonds de leurs clients sont cantonnés chez leurs partenaires (Crédit Mutuel Arkéa pour Qonto ou Franfinance pour Shine).
En attendant, le professionnel peut s’adresser à un établissement de paiement, comme Qonto ou Shine, qui acceptent d’ouvrir des comptes aux clients « interdit bancaire ». N’étant pas des banques, ils ne peuvent délivrer de crédit ou tolérer des découverts. Par conséquent, les risques sont limités car le solde du compte est interrogé à chaque transaction.
Enfin, en cas de refus répétés, l’intéressé peut également faire valoir son droit au compte auprès d’une succursale de la Banque de France. La demande s’effectue sur place ou par courrier recommandé avec accusé de réception. Des justificatifs sont alors à fournir : pièce d’identité, justificatifs de domicile et d’activité professionnelle, lettre de refus de la banque, déclaration sur l’honneur qu’aucun compte n’est ouvert au nom du professionnel… A réception de la demande complète, la Banque de France dispose d’un jour ouvré pour désigner une banque d’office, qui est obligée d’ouvrir un compte dans les 3 jours suivant la réception du dossier.
En général, le professionnel remplit un formulaire, qui varie selon les banques, avec ses coordonnées, son adresse, le siège de l’entreprise le cas échéant, la nature de son activité, etc. Le nombre de justificatifs varie selon le type d’entreprise. Les documents de base sont la pièce d’identité du dirigeant, le justificatif de domicile de moins de 3 mois, les statuts ou le projet de statuts, l’extrait kbis ou fiche INSEE (numéro SIREN, code APE), le justificatif d’immatriculation… L’établissement peut aussi demander un business plan ou encore la déclaration de revenus du dirigeant.
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