Sur le secteur des moyens de paiement, le sans contact et le virement SEPA instantané gagnent en popularité. L’Observatoire des tarifs de la Banque de France affirme que ce dernier est désormais dans le catalogue de 2 établissements sur 3. Mais si la plupart d’entre eux facturent le service, Boursorama Banque opte pour la gratuité.
D’après l’UFC-Que choisir, environ une victime de fraude bancaire sur trois n’ont pas eu droit à un remboursement de la part de leur banque au cours des douze derniers mois, soit une augmentation par rapport à l’année dernière. Une situation d’autant plus préoccupante, compte tenu des nouvelles règlementations en la matière décrétées par l’État.
Les paiements sans contact et par Internet ont été boostés par la situation pandémique, et notamment par la période de confinement. Un enthousiasme qui n’a pas dépéri même à la sortie du cantonnement. Face à l’engouement naissant pour ces nouvelles solutions de rétributions, les professionnels du secteur estiment qu’il faudrait renforcer les mesures d’authentification.
Le choix d’une banque n’est pas à prendre à la légère compte tenu des impacts de la gestion d’un compte dans le budget du ménage. Pour accompagner les Français dans cette démarche, le ministère de l’Économie et le Comité consultatif du secteur financier (CCSF) ont créé en 2016 un comparateur officiel et gratuit des principaux tarifs appliqués par les diverses banques. Un outil de plus pour faciliter la recherche d’offres bancaires intéressantes.
L’année dernière, les clients des banques marocaines ont eu l’impression que les tarifs étaient quasiment restés stables. Mais ce ressenti ne reflète pas vraiment la réalité puisque, à y regarder d’un peu plus près, les établissements bancaires du Royaume ont quand même procédé à quelques hausses plus ou moins spectaculaires. Ceci démontre l’opacité que présentent les grilles tarifaires des banques au Maroc.
Les clients des banques en Polynésie française ont droit à une grille tarifaire plus chère qu’en Métropole. Cette réalité tend petit à petit à disparaître. Après une année 2019 marquée par le gel des tarifs, les années à venir devraient présenter encore quelques évolutions à la baisse dans les COM du Pacifique.
L’Observatoire des tarifs bancaires vient de publier son rapport annuel dans lequel il fait mention des prix de divers frais bancaires appliqués par les enseignes concernées pour l’année en cours. La première enquête a été menée en 2012, et comparée à aujourd’hui, la plupart de ces tarifs ont augmenté, certains ont même explosé.
L’implication des acteurs financiers et de leurs divers partenaires dans la protection de l’environnement peut prendre diverses formes. Treecard et Ecosia ont fait fort avec leur nouvelle carte écologique et gratuite. En s’associant avec la start-up londonienne, le moteur de recherche allemand entend renforcer son engagement dans la lutte contre la crise climatique. 80 % des profits de la carte provenant des frais d’interchange serviront à financer la plantation d’arbres.
Avant de choisir une banque, il convient d’effectuer en amont quelques comparaisons. En effet, les frais bancaires varient d’un établissement à un autre. Le CCSF (comité consultatif du secteur financier) a passé au crible les prix de plus d’une centaine d’établissements pour mettre en lumière leurs pratiques tarifaires et les tendances émergentes avec l’apparition de nouveaux produits et services.
ING France entend venir à bout de son objectif en misant sur deux formules. C’est l’un des points culminants récemment annoncés par Frédéric Niel, l’homme à la tête de cette banque en ligne mettant en exergue la détermination de l’enseigne à tout mettre en œuvre pour renforcer la confiance de sa clientèle en ses services.
Pour éviter la manipulation de billets de banque et limiter la propagation du coronavirus, les autorités sanitaires encouragent le recours aux paiements digitaux. Alors qu’ils connaissent un essor remarquable, ces systèmes restent cependant exposés à des failles de sécurité, d’où la nécessité de renforcer leurs dispositifs de protection. L’élaboration de nouvelles règles techniques visant à améliorer la cyber-résilience des comptes et des transactions bancaires date pourtant d’avant la crise sanitaire.
Réaliser des achats en se servant de la paume de sa main à la place d’une carte de débit, tel est l’initiative que nourrit le géant du commerce en ligne Amazon. Cette dernière a mis au point un processus d’authentification y afférent permettant à ses clients d’autoriser ou non des transactions.
Le fournisseur de paiement est prêt à parier sur les monnaies virtuelles. Dernièrement, la fintech a fait l’acquisition de 4 709 bitcoin pour un montant total de 50 millions de dollars. Il s’agit de la deuxième plus importante opération en bitcoin effectuée par des sociétés financières américaines. Grâce à cet investissement, la start-up espère supplanter PayPal sur le marché des paiements dématérialisés.
En charge depuis 2012 de surveiller la politique des banques opérant dans l’Hexagone, le CCSF (Comité consultatif du secteur financier) a récemment rendu publics un rapport mettant en exergue l’évolution des politiques tarifaires adoptées par les acteurs financiers tricolores ces dernières années. L’occasion permettant de découvrir que dans ce domaine, la croissance est au rendez-vous.
Les cartes bancaires biométriques sont en train d’être expérimentées dans l’Hexagone. Cette solution permet aux consommateurs d’utiliser leur empreinte digitale pour vérifier les transactions effectuées. Depuis plusieurs années, les habitudes des Français en matière de paiement ont radicalement changé, notamment avec le sans contact. Intégrant également cette technologie, les cartes biométriques sont susceptibles de se généraliser à l’avenir.
Face à la résurgence de l’épidémie de coronavirus, les paiements dématérialisés sont plus que jamais recommandés. La technologie sans contact connait un succès fulgurant, mais l’Union européenne veut aller encore plus loin, et remet sur la table l’idée de créer un euro numérique. Au même titre que les crypto-monnaies existantes, cette monnaie digitale pourra être échangée sur les plateformes de trading de crypto-devises classiques, à la différence près qu’elle sera moins volatile.
L’épidémie du covid-19 a incité à faire des changements dans le mode de vie des Français, mais a aussi donné lieu à des divagations. L’une d’entre elles suggérait la suppression de l’argent physique au profit des paiements mobiles, mieux aptes à garantir les gestes barrières. Mais malgré l’essor de cette solution de rétribution, cette transition n’est pas encore à l’ordre du jour.
En 2019, l’État a mis au point le plafonnement des frais d’incidents pour les clients en situation financière fragile. Cette réforme visait à endiguer le surendettement, un phénomène qui s’est amplifié ces dernières années en France. Mais ce dispositif gouvernemental présentait encore des failles, c’est pourquoi un rafistolage était nécessaire.
Bien qu’il soit délaissé au profit d'autres modes de paiement jugés plus modernes, le chèque est aujourd'hui celui qui enregistre le plus de fraudes. Les chiffres publiés par l’Observatoire de la sécurité des moyens de paiement (OSMP) dans son dernier rapport ont révélé une explosion des cas de fraude au chèque en 2019.
Les cryptomonnaies, encore méconnues il y a quelques années, constituent la nouvelle mine d’or du secteur financier. En effet, les devises numériques se démocratisent de plus en plus et les initiatives pour avoir la main mise sur ce nouveau marché se multiplient. Dans cette optique, la plateforme d'échange cryptographique mondiale Binance lance sa carte de débit, en collaboration avec le géant américain Visa.
Faites des économies, suivez l’activité de vos comptes et simulez un achat immobilier ou un crédit consommation.
Meilleurtaux Placement Reprenez le pouvoir sur votre épargne.Suivez la performance de tous vos contrats (assurance vie, retraite, immobilier, défiscalisation) et re-versez facilement. Garantie 0 paperasse.
Meilleurtaux Partenaires L’application gagnante pour les professionnels.Augmentez votre chiffre d’affaires immobilières, gagnez en efficacité lors des premières visites, développez votre business au delà de l’immobilier et travaillez votre image et votre réputation.
Attention, vous pouvez être sollicités par de faux conseillers Meilleurtaux vous proposant des
crédits et/ou vous demandant de transmettre des documents, des fonds, des coordonnées bancaires,
etc.
Soyez vigilants · Meilleurtaux ne demande jamais à ses clients de verser sur un compte les sommes
prêtées par les banques ou bien des fonds propres, à l’exception des honoraires des courtiers. Les
conseillers Meilleurtaux vous écriront toujours depuis une adresse mail xxxx@meilleurtaux.com
Vous avez un doute sur l’un de vos contacts ou pensez être victime d’une fraude ? Consultez notre guide.