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La crise du covid-19 a permis aux banques de réaliser qu’il est tout à fait possible de numériser les différents processus. Malgré les contraintes liées aux dispositions mises en œuvre pour assurer la sécurité sanitaire des employés et des clients, les banques ont pu continuer à offrir le même niveau de services en privilégiant les solutions à distance.
À travers une étude récente, Finastra a montré l’importance des Fintech dans les nouvelles stratégies des professionnels évoluant dans le secteur financier. Les banques considèrent désormais ces acteurs comme des leviers de croissance, que ce soit sur le marché français ou international. En même temps, l’Open Banking permet de faciliter les rapprochements et de profiter de leurs nombreux avantages.
Depuis le début de la pandémie de Covid-19, les chercheurs et les soignants ont classé les personnes âgées parmi les populations à risque. Les seniors avaient donc intérêt à prendre des précautions supplémentaires et à respecter scrupuleusement les mesures de distanciation sociale. De ce fait, le confinement les a obligés à se familiariser avec les services en ligne.
La pandémie n’a pas fini de faire des victimes, aussi bien du point de vue humanitaire qu’économique. Les pays du monde, même les plus puissants, accusent le coup, à l’image du Japon qui ne pourra pas éviter une forte récession. Pour l’heure, l’urgence est de sauver les entreprises et, pour y arriver, le Japon a débloqué 30 000 milliards de yens supplémentaires.
Il n’est plus à prouver que Samsung ne compte pas céder sa place même si la concurrence est fort rude sur le marché actuel. Pour ce faire, il a dû associer son domaine à un autre : technologie et capitaux, d’autant que l’évolution est une porte grande ouverte à la réalisation du projet. Il a alors conclu un accord avec deux géants spécialisés dans le domaine de la carte bancaire et des comptes ultra digitalisés.
Toutes les enseignes financières ont été impactées par la crise sanitaire, même les banques en ligne, et ce, malgré leur modèle numérique. Monzo, ainsi que ses homologues - mais 100% digitales - Revolut et N26 ont ainsi subi les conséquences du frein à la consommation et ont dû adopter des mesures d’urgence pour réduire leurs charges. Allant du paiement du salaire en actions d’entreprise à la réduction des effectifs.
Une crise économique et sociale semble être inévitable à la sortie de la conjoncture actuelle liée à la pandémie du Coronavirus. Une éventualité à laquelle s’étaient préparées les banques, mais il risque tout de même d’y avoir de gros dégâts. Toutefois, les établissements financiers conservent leur solidité à l’heure actuelle, et leur soutien est indispensable à tous les secteurs d’activité pour la reprise.
La concurrence est rude dans le secteur financier. Les banques digitales essaient de toujours adapter leur ADN en dépit de la situation. La filiale en ligne de la Société Générale fait partie de l’élite en optant pour un système d’apprentissage de gestion personnel d’épargne simple et méthodique. Une solution qui semble ravir et guider les jeunes clients encore en manque d’expérience.
Le paysage bancaire prend un nouveau tournant face à la mondialisation et à la croissance des échanges. C’est dans ce sens que la plateforme b-Link a vu le jour pour répondre à ces nouveaux défis. Elle permet, en effet, de connecter les banques et les fournisseurs de services. Mais cette plateforme facilite aussi grandement les paiements pour les sociétaires.
La période de confinement a, sans conteste, mis à terre de nombreux établissements financiers. Chacun d’entre eux essaie alors de retenir fortement leurs clients en proposant des offres alléchantes tout en essayant de compenser les pertes. Ce qui n’empêche en rien le grand bouleversement de leur routine de travail. Certaines, prouvant encore que la crise prend le dessus. D’autant plus que les décisions prises pour tenir la tête hors de l’eau ont un revers.
Les retombées de la pandémie du Coronavirus et de l’instauration du confinement n’inaugurent rien de bon pour les banques. La quasi-totalité des analystes dans ce secteur prévoit une « casse », en dépit des fonds qui ont été mis de côté par les établissements financiers pour parer à cette éventualité.
Nous entrons dans l’ère du numérique où il est possible de tout faire à partir de son portable, y compris gérer son argent. Des néobanques ont vu le jour et font concurrence aux grandes banques classiques. J.D.Power a mené son enquête et dressé un bilan quant à la satisfaction globale des clients de ces deux types d’enseignes financières.
La date fatidique pour la fermeture de C-zam a été annoncée. Un chamboulement pour ses utilisateurs, certes, mais d’un autre côté pas une très grande surprise que cela, vu les petites imperfections observées au niveau des services. Pour dédommager les pertes, Carrefour procède à une offre alléchante avec son partenaire Nickel. La meilleure politique en situation de crise étant de mettre de côté toute rivalité.
Les manifestations des Gilets jaunes ont porté ses fruits puisque les frais d’incident en cas de compte à découvert ont été plafonnés à 25 euros, et seront appliqués plus rapidement. Les banques se sont engagées à respecter cette mesure pour répondre aux besoins des personnes en difficulté financière tout en les protégeant d’un possible surendettement.
« Le client est roi », la règle est surement la même pour tous les acteurs commerciaux, y compris les établissements bancaires. Pour la banque en ligne ING, malgré la crise, la priorité est de mettre le consommateur dans les meilleures conditions possible, veiller à ce que le parcours client reste irréprochable et répondre au mieux à chacun de ses besoins.
Condamnée par le tribunal correctionnel de Paris à une amende de 3,7 milliards d’euros pour démarchage bancaire illégal et blanchiment, UBS devra patienter pour obtenir un jugement pour son appel. La cour d’appel de Paris jugera ainsi l’affaire au mois de mars 2021 (du 8 au 24) au lieu des dates prévues initialement (du 2 au 29 juin). Les restrictions relatives à la crise sanitaire ne permettent pas de tenir des audiences durant le mois de juin étant donné que certains prévenus basés en
Les banques digitales sont maintenant lancées dans le domaine des capitaux. À savoir, les jeunes en sont les clients majoritaires, génération à nouvelle technologie, ils n’auraient pas pu demander mieux. D’autant plus que leur fonctionnalité et leurs offres attirent de plus en plus de clients de tout âge. Même si, d’un autre côté, d’autres restent sceptiques sur son fonctionnement.
Le directeur général de la banque en ligne de Boursorama a livré quelques confidences lors d’une interview. Les questions se rapportent notamment sur leur approche afin d’attirer de nouveaux clients et la concurrence des établissements financiers nouvellement présents sur le marché bancaire français. La thématique des enseignes déployées sur Internet a aussi été abordée, et plus précisément la fiabilité d’effectuer ce genre de mouvements d’argent.
D’après une récente étude YouGov pour Tink, 63 % des établissements financiers européens se sont efforcés d’augmenter leurs investissements en matière d’open banking depuis 2019. Cette démarche permet aux banques comme aux Fintech de se conformer à la réglementation en vigueur dans le secteur et d’étoffer rapidement leur gamme d’offres.
Par rapport à leur situation lors de la crise financière en 2008, les banques européennes sont mieux armées pour faire face aux impacts de la crise sanitaire actuelle. La politique monétaire adoptée par la BCE leur permet d’accéder facilement aux liquidités. Néanmoins, le risque élevé de défaut de paiement lié aux effets de la crise sanitaire est à craindre, selon le rapport de l’ABE (Autorité bancaire européenne).
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