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En France, la tendance est au Fitbit Pay. Un paiement sans contact qui se trouve être alors en phase avec les mesures de sécurité liées à la pandémie du Covid-19. Raison pour laquelle de plus en plus de consommateurs vérifient la compatibilité de l’offre qu’on leur propose avec le dispositif, au moment de choisir leur banque.
Que la situation revient vite à la normale ou que le confinement perdure encore dans le temps, une chose est sûre, cette crise sanitaire aura modifié le comportement des Français. Le traumatisme ne disparaitra pas du jour au lendemain. Un phénomène illustre bien ce changement d’attitude : la propension des ménages à épargner davantage.
L’année dernière, les différents acteurs financiers incitaient les ménages à prendre plus de risques sur leurs épargnes, à ne pas se contenter du Livret A ou des fonds en euros, limités en rendement. Mais avec la crise sanitaire, la baisse de revenus et la menace du chômage, les ménages préfèrent assurer leurs arrières en misant sur des placements sécurisés.
En tant que banque en ligne, Monabanq ne devrait fonctionner que via le web. Mais grâce à son appartenance au groupe Crédit Mutuel qui dispose de 2 000 agences CIC, la néobanque est en mesure de proposer à ses clients la possibilité de déposer gratuitement de l’argent dans leurs comptes. L’opération est cependant soumise à quelques conditions.
En début d’année, Carrefour Banque avait évoqué l’éventualité de supprimer son offre bancaire C-Zam et s’était donné quelques mois de réflexion. Aujourd’hui, la disparition de la fameuse carte de paiement et de virement bancaire semble actée. Pour autant, la filiale de Carrefour et de BNP Personal Finance compte poursuivre ses activités et recentrer ses ressources vers des services plus prometteurs.
Aux États-Unis, le rapport entre la génération montante et les institutions financières ont évolué. Conscients des difficultés économiques que leurs parents ont vécues et des impacts de la dette de prêt étudiant sur cette génération, les milléniaux se soucient très tôt de leur sécurité financière. Une récente étude révèle que les jeunes s’intéressent à la gestion financière dès l’âge de 13 ans.
Après la récente officialisation de sa fusion avec CNP Assurances, La Banque Postale s’estime suffisamment solide pour faire face aux difficultés économiques qu’entraînera la crise. Le groupe maintient ainsi sa candidature au rachat des activités de banque de détail d’HSBC France. Tous les chantiers initiés avant le confinement restent d’ailleurs d’actualité.
L’épilogue de la crise sanitaire provoquée par le coronavirus n’aura pas lieu dans l’immédiat. Entre temps, la pandémie a déjà causé des dégâts considérables, aussi bien sur le plan social que sur le plan économique. Aux États-Unis, pays le plus touché par le covid-19, la banque N26 a décidé d’adopter un plan d’austérité pour ne pas compromettre sa récente implantation.
La récession économique engendrée par la pandémie du Coronavirus fait émerger des questions sur les risques de faillite bancaire. Beaucoup de clients se demandent si c’est le moment ou jamais d’engager des processus visant à retirer leurs épargnes. Un passage obligé, d’autant que si les spécialistes excluent une faillite immédiate, ils n’écartent en rien cette hypothèse.
La crise du Covid-19 a un impact sur les habitudes des consommateurs marocains en matière de paiement. Avec le confinement, la peur de contracter le virus et l’interruption des activités touristiques, les retraits de liquide et les paiements par cartes, notamment internationales, sont en repli depuis le début de la crise sanitaire. En revanche, le commerce en ligne intérieur a le vent en poupe.
Les besoins augmentent en même temps que les revenus. Mais l’inverse est également vrai. Avec le confinement, les Français ont dû se résoudre à délaisser leur activité, quitte à voir leurs revenus baisser de manière conséquente. Avec moins de liquidités à leur disposition, les Français ont, volontairement ou pas, rogné sur leurs dépenses, et la coupe a été assez nette.
En cette période d’incertitude liée à la pandémie du Covid-19, l’Eurostoxx 600 Banks figure parmi les indices boursiers à suivre de près. Certes, il a titillé ses plus bas historiques ces derniers temps, mais l’intervention inexorable des banques centrales pourrait changer la donne. Les spécialistes du marché lui prêtent surtout un rendement dépassant les 30 %, dans les mois qui viennent.
Initialement, le paiement sans contact a été élaboré pour simplifier les transactions auprès d’un commerçant et surtout permettre un gain de temps (plus d’espèces ou de TPE à manipuler). Désormais, il a une tout autre vocation : celle de contribuer à la lutte contre le coronavirus, raison pour laquelle Bercy a décidé de relever son plafond à compter du début du déconfinement annoncé pour le 11 mai. Quasiment toutes les banques ayant adopté ce système vont « jouer le jeu ».
La Banque centrale irlandaise est appelée à retarder encore une fois les nouvelles règles sur les paiements en ligne, qui n’entrera donc en application qu’au 14 septembre 2021. Ce délai doit permettre aux commerçants de se mettre en conformité avec la nouvelle exigence européenne pour une authentification forte du client (SCA) lors des transactions en ligne.
Selon le numéro un de la néobanque d’Orange, Paul de Leusse, la banque mobile ne devrait atteindre son point mort qu’à l’horizon 2024. D’ici là, son équipe va mettre l’accent sur la création de la valeur. Pour l’heure, la néobanque priorise l’investissement en misant sur la qualité de son offre et entend multiplier le nombre de ses clients, lequel s’établit actuellement à environ 500 000 utilisateurs. Pour parvenir à cet objectif, elle compte sur l’appui des réseaux de boutiques Orange et
Les comptes courants ainsi que la domiciliation de revenus ont toujours été au centre de la relation entre les clients et leur banque. Un principe bien dépassé, selon certains experts, car d’autres opportunités s’offrent à cette dernière, dont l’exploitation lui sera certainement plus bénéfique. La croissance à deux chiffres de Banque Casino, découlant de son activité de financement, en est d’ailleurs un parfait exemple.
Pour les géants du numérique, l’univers de la finance représente un instrument de choix pour diversifier leurs activités. Après Google Pay, son application de paiement, la firme de Mountain View travaille sur une nouvelle offre en collaboration avec une banque et une coopérative de crédits. Le site TechCrunch a ainsi dévoilé un visuel de la future carte bancaire de Google.
Plus que les autres acteurs bancaires, la période d’exercice de 2020 risque d’être particulièrement rude pour les banques françaises. Différentes raisons portent en effet à croire à cet aboutissement si l’on croit les résultats des études effectuées par l’équipe de recherche de JP Morgan concernant le marché financier européen face aux conséquences du coronavirus.
Capital a récemment publié son classement annuel des établissements bancaires français en fonction de leur tarification. Selon le magazine spécialisé, les enseignes dématérialisées s’imposent comme les moins chères du marché cette année. Les banques de réseau peuvent également se révéler avantageuses pour certains profils de clients. En définitive, tout dépend des services les plus utilisés par le consommateur.
En ces temps de crise sanitaire liés à l’épidémie du coronavirus, le gouvernement a récemment mis sur pied le PGE, ce prêt garanti par l’État d’un montant de 300 milliards d’euros destiné à permettre aux différentes structures entrepreneuriales d’accéder à un crédit exceptionnel auprès de leur banque. Du moins, pour la majorité d’entre elles puisque certaines entreprises clientes des néobanques B to B ne pourront pas en bénéficier.
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