Vivre avec le Coronavirus devient une routine avec l’adaptation de nouveau mode de paiement respectant les consignes d’hygiène
Tantôt la fin de l’épidémie, les grands pays continuent leur lutte pour s’adapter à un mode de vie plus sécurisé dans le domaine du commerce. Le dispositif de paiement sans contact prend de plus en plus d’ampleur dans la vie quotidienne. Ce qui est bénéfique pour la sécurité sanitaire. Mais le problème réside encore sur l’uniformisation de toutes les cartes pour qu’elles soient optimales au niveau national.
L’OMS a déclaré que le paiement sans contact est un excellent moyen, à additionner aux gestes barrières déjà établis, pour endiguer la maladie. Pour la France, justement, ayant opté pour un déconfinement progressif bien que la maladie ne soit totalement éradiquée, l’application de cette méthode est une grande adaptation pour permettre aux personnes d’éviter tout risque de contagion - indirecte ou non.
Toutefois, l’utilisation continuelle d’une carte pourrait être à l’origine de l’élévation des frais bancaires, qui seront prélevés sur le compte de l’utilisateur. Mais encore à l’expiration de la validité de celle-ci, son renouvellement sera également source de commissions supplémentaires. D’autant plus que certaines personnes, ayant toujours préféré le cash, devront ouvrir un compte pour se procurer la leur.
Je compare les offres bancaires
Le paiement sans contact accessible pour tous
Ayant prévu le déconfinement progressif du 11mai, l’État français ainsi que les institutions ou entreprises concernées ont mis en place, préalablement, une organisation de la vie quotidienne de la population. Effectivement, suivant les recommandations de l’Organisation mondiale de la santé, pour limiter au maximum les contacts pouvant véhiculer le virus, le paiement par carte bancaire s’est ajouté aux gestes barrières.
Si ce dispositif avait une limite auparavant pour éviter toute tentative de fraude, la promotion du paiement via une carte Visa a conduit à quelques adoucissements des règles, la valeur du plafond, par exemple, ayant été jusqu’ici restreinte à 30 euros a été augmentée à 50 euros et un nombre de transactions consécutives a été mis en place.
Pour garantir une uniformité de ce système au niveau national, de nombreuses entreprises ont affirmé mettre à jour dans les plus brefs délais leur plafond en termes de montant des paiements. Ce qui permettra également à la population de les préférer au cash où l’emploi de ce dernier ayant chuté de 50%.
En plus de mettre à l’abri son utilisateur et éviter les fils d’attentes, l’accessibilité d’une carte bancaire dans le cadre du commerce reste un de ses avantages, d’autant plus qu’elle est sécurisée et peut être reçue par les grandes surfaces ou autres boutiques sans encombrement.
D’ailleurs, chaque transaction de plus de 30 euros effectuée via ce type de cartes permettra à la banque postale de tirer une prime de deux centimes en guise de soutien adressé à l’Institut Pasteur.
Je compare les offres bancaires
Un dispositif sécurisé nécessite plus de temps pour être optimale
D’un autre côté, des banques de renommée comme Orange Bank et BNP Paribas se retrouvent encore en queue de peloton. Effectivement, le nombre de cartes à rehausser est nombreux et les concernés veulent à tout prix y mettre une sécurité maximale. Mais toutes les cartes ne seront pas mises à jour automatiquement.
À cet effet, leurs utilisateurs devront y mettre du leur et les activer en ligne. Mais certaines grandes infrastructures comme la Société Générale amènent même ses clients à activer les leurs à travers une opération de retrait auprès d’un distributeur ou par paiement codé. Ce qui garantit une sécurité optimale
La mise en place cette solution high-tech ne se fera donc pas d’une manière homogène. Les banques ont chacune leur manière de procéder, certaines facilitent l’accès aux nouvelles cartes à leur client tandis que d’autres allongent la procédure, mais il est à noter que chacune assure sans conteste la sécurité d’utilisation des clients. N’empêche que les mises à jour non automatiques ne sont-elles pas contradictoires à la politique du '' sans contact '' ?
