Janvier 2021

L’association France Fintech a récemment rendu public un rapport traitant le sujet sur les startup de la finance française. Celui démontrant que pour différentes raisons, l’expansion à l’international est pour l’heure à la marge des priorités pour ces dernières qui sont bien nombreuses à se concentrer sur le marché tricolore.

Pour l’heure, le paiement mobile peine à entrer dans les habitudes de consommateurs en France. Le pays présentait un taux de pénétration de 2,2 % en 2019, selon une étude Statista. À titre de comparaison, la Chine affichait un score de 35,2 % sur la même période. Les solutions en la matière sont pourtant assez variées sur le marché.

Les outils numériques des banques n’ont cessé de se multiplier ces dernières années. Au-delà de l’effet de mode, la digitalisation des services bancaires possède une portée économique non négligeable. Ainsi, les banquiers belges ont intérêt à évoluer pour assurer la pérennité de leur activité. L’épidémie de Covid-19 a d’ailleurs confirmé l’importance des nouvelles technologiques pour l’avenir du secteur.

Le secteur bancaire s’en sort plutôt bien face à la crise engendrée par la pandémie du covid-19. Une résistance que les établissements financiers doivent en partie aux règlementations imposées suite à la crise de 2008 et du gel des dividendes décrété par la Banque Centrale Européenne. Concernant la dernière réforme, les banques souhaitent aujourd’hui qu’elle soit levée.

Les paiements mobiles sont aujourd’hui très largement répandus. Une solution qui apporte indubitablement une facilité d’usage permettant entre autres de rembourser un ami, dépanner un collègue et bien plus encore. En France, ce sont des sociétés étrangères qui dominent ce marché, un point que les grandes banques de l’Hexagone entendent changer.

En 2020, les Fintech ont connu un début d’année prometteur. La pandémie de Covid-19 a toutefois perturbé le développement du secteur. La crise sanitaire a même entraîné la disparition des structures les plus fragiles. Cet événement historique a néanmoins accéléré la démocratisation des services dématérialisés, surtout durant le confinement. Depuis, les investisseurs s’intéressent encore plus à ces nouveaux acteurs.

2021 sera marquée par un renforcement des règles de sécurité encadrant les transactions par carte bancaire. À travers cet article, découvrez les nouvelles mesures qui seront mises en œuvre pour mieux protéger vos achats.

La ville de New York a récemment annoncé l’arrivée du paiement mobile dans ses 472 stations de métro. En effet, la MTA (Metropolitan Transportation Authority) vient de terminer l’installation des bornes dédiées sur tout le réseau. Entamés en mai 2019, ces travaux ont été suivis de près par les détenteurs des cartes de métro traditionnelles.

En ces temps de crise, une réponse positive à une demande de prêts semble impossible, les banques s’attelant à recouvrir leurs pertes, qui plus est, le risque de non-remboursement affiche une hausse encore jamais vue. Il a été demandé à un professionnel du secteur de donner des précisions quant à la situation actuelle de l’immobilier.

Boursorama Banque vient d’annoncer le remplacement de sa carte Visa Premier pour sa nouvelle carte haut de gamme baptisée Ultim Metal. Cette dernière octroie de nombreux avantages, tels que le service Smart Delay et l’assurance Boursorama Protection Premium. Ce qui n’empêche pas les actuels détenteurs de la carte premium de se montrer inquiets : seront-ils alors obligés de souscrire à cette nouvelle offre.

Les agences bancaires dans l’Hexagone figurent parmi la liste des établissements autorisés à ouvrir leur porte lors de ce deuxième confinement. Toutefois, elles devront imposer les mesures sanitaires adéquates et suivre un protocole strict pour endiguer les risques de contaminations au covid-19, tout comme l’ont fait leurs homologues britanniques et espagnols.

Une étude révèle que le découvert bancaire est une circonstance beaucoup plus récurrente que l’on ne croit. En effet, 20 % des répondants à une enquête ont reconnu se retrouver dans le rouge tous les mois. Une situation délicate sur laquelle l’État a décidé d’intervenir pour endiguer les risques de surendettement.

Revolut ambitionne de promouvoir davantage les devises virtuelles dans son offre. En appui à cela, la néobanque vient d’annoncer l’ajout de 4 nouvelles cryptomonnaies à sa plateforme d’échange, une initiative qui survient peu de temps après son alliance avec Fireblocks. Mais en dépit des innovations qu’elle souhaite apporter, la fintech continue de faire l’objet de nombreuses critiques.

Après un gel des frais bancaires en 2019 sur fond de crise des « Gilets jaunes » et une année 2020 marquée par la pandémie, les tarifs des banques risquent finalement de remonter en 2021. Mais comme la hausse sera différente d’un établissement à un autre, l’association des consommateurs CLCV suggère aux clients de bien comparer leurs grilles tarifaires avant d’en choisir un.

Quelques jours après une sortie remarquée du PDG d’Allianz, Ana Botin, patron du groupe Santander, pointe du doigt la nécessité de réformer l’encadrement des entreprises de la tech qui se lancent dans la finance. Elle estime notamment que les règles doivent être les mêmes pour tout le monde, sans défavoriser ni avantager les banques et les Fintech.

La suppression de l’offre bancaire gratuite est une tendance qui se propage dans toute l’Europe, même en France. Nombre de succursales ont annoncé la fin prochaine de cette gratuité dans leur établissement. La dernière en date ? N26. En effet, la banque de dernière génération allemande va lancer une nouvelle option payante qui éclipsera sans doute celle à zéro frais.

Certaines néobanques commencent à faire sérieusement de l’ombre aux succursales traditionnelles. Force est toutefois de constater que ces fintechs peinent encore à être rentable, un point qui peut être corrigé via deux options : l’introduction en bourse ou le rachat par une grande banque. Le choix est cornélien et aujourd’hui de nombreuses Startups du milieu ont du mal à se décider.

À l’instar de nombreuses banques de dernière génération en ce moment, et dans le cadre d’une restructuration, Boursorama Bank vient d’annoncer le lancement de sa marketplace, un tout nouveau service proposant des cashbacks et des offres promotionnelles à ses 2,5 millions de clients. Une plateforme grâce à laquelle la banque française espère pouvoir attirer plus de 500 000 sociétaires d’ici 2021.

Les banques traditionnelles accusent aujourd’hui un certain retard sur les réponses adaptées aux nouveaux besoins bancaires. Un point dont ont su profiter les néobanques grâce à leurs offres innovantes. En effet, ces enseignes digitales ont mis au point des services en adéquation avec les exigences de la nouvelle génération de clients, preuve en est avec le succès de Revolut.

Après ING, Deutsche Bank ou encore Société Générale, c’est au tour de la banque néerlandaise ABN Amro d’annoncer qu’elle va aussi procéder à une réduction de ses effectifs. Des suppressions de postes qui résultent bien évidemment des retombées de la crise sanitaire, mais qui sont aussi dues à une érosion de leur rentabilité.

Le surendettement est un fléau qui touche des millions de Français, qui plus est, ces personnes tendent encore à s’appauvrir à cause des compensations financières exigées par les banques en cas d’incidents de paiement. Une mesure gouvernementale avait déjà été imposée pour limiter ces frais, et elle vient de subir une mise à jour.

Crédit Agricole a rapidement réussi à redresser la barre suite au premier cantonnement. Le groupe mutualiste a, en effet, dégagé plus d’un million et demi d’euros de bénéfices durant le troisième trimestre. Une performance qu’il doit notamment à son entité cotée CASA. Mais en dépit de ces revenus conséquents, l’enseigne française préfère jouer la carte de la prudence.

Peu portés sur la carte bancaire, les Italiens vont peut-être changer d’avis avec la nouvelle initiative de leur gouvernement. Ce projet s’inscrit dans une démarche globale et à long terme visant à réduire l’utilisation d’argent liquide dans un contexte de lutte contre la transmission du Covid-19 et de réduction de la fraude fiscale.

Les banques n’ont pas attendu le Covid-19 pour intégrer les nouvelles technologies dans leurs produits et services. L’épidémie a toutefois agi comme un catalyseur et a accéléré l’adoption de ces outils numériques par un plus grand nombre de clients. Les exemples de deux établissements canadiens, TD et Scotia, sont particulièrement révélateurs.

Pour l’heure, peu d’établissements bancaires osent s’aventurer sur le marché de la crypto-monnaie. La néobanque britannique Revolut fait ainsi presque figure de pionnière, elle qui propose désormais à ses clients de détenir des avoirs en monnaies virtuelles. Depuis, son service connait une expansion spectaculaire, comme l’illustrent les chiffres du mois de janvier qui dénombrent 100 000 nouveaux clients en l’espace d’une semaine. Si vous le souhatiez, vous pouvez également ...

La banque en ligne de l’opérateur télécom Orange poursuit sa stratégie de développement et de diversification en rachetant Anytime, une néobanque dédiée aux entreprises, professionnels et associations. Elle met ainsi un pied dans un nouveau segment de marché après trois ans d’existence. Le montant de la transaction n’a pas été communiqué.

S’étant déjà associé 5 mois auparavant, Pennylane et Qonto ont renouvelé leur collaboration pour mettre sur pied une nouvelle technologie d’intégration pour faciliter la gestion comptable des entreprises. Ce dispositif apporte de nombreux avantages aux enseignes ne serait-ce que de citer le gain de temps et le suivi en temps de réel de la trésorerie.

Nickel lance un service de transfert d’argent à l’international, un projet qui a pu voir le jour grâce sa collaboration avec Monisnap et Mia. Leurs clients pourront accéder à ce service via l’application bancaire ou en se rendant auprès de l’un des bureaux de la néobanque et en y effectuant un dépôt en liquide.

La carte bancaire est le moyen de paiement préféré des Français. Malheureusement, son usage répandu fait d’elle une cible privilégiée pour les fraudeurs. Ces dernières années, et plus particulièrement depuis la crise sanitaire, les fraudes à la carte bancaire ont explosé, raison pour laquelle les autorités ont élaboré de nouveaux dispositifs destinés à renforcer leur sécurité.

Un bilan établi fin octobre 2020 a permis de constater que les banques participatives marocaines montrent plutôt une bonne résilience face à la crise mondiale liée au coronavirus. Même si les objectifs fixés en début d’année n’ont pas pu être atteints, les établissements du pays se félicitent de ne pas s’être effondrés et d’avoir même poursuivi sur le chemin de la croissance.

Selon l’édition 2021 des Trophées Qualité de la Banque, la filiale bancaire de la Poste se retrouve en queue de peloton des établissements, dont les services sont les plus appréciés par les clients. Paradoxalement, elle figure parmi les banques françaises avec le plus d’utilisateurs. Concernant les points qui lui sont reprochés, il y a notamment l’expérience en agence et l’expérience digitale qui font défaut. Malgré tout, les clients restent fidèles à l’enseigne.

La banque en ligne britannique enrichit son catalogue avec une quatrième offre. Revolut a lancé une formule « Plus » facturée à 3 euros par mois. Elle s’adresse à ceux qui ne souhaitent pas utiliser le compte standard gratuit et les offres payantes haut de gamme. Elle se distingue par des services d’assurances sur les achats du quotidien.

En dépit de la crise, les fintechs tricolores continuent de séduire les investisseurs. Les chiffres l’attestent. L’année dernière, celles-ci ont collecté au total 828,2 millions d’euros dans le cadre de tours de table. Ce montant est en progression de +18,5 % par rapport à 2019. Selon un communiqué de l’association France Fintech, cette performance est d’autant plus exceptionnelle qu’au niveau européen, le marché enregistre un repli de -7 %.

Les restrictions relatives aux dividendes bancaires et rachats d’actions sont reconduites pour une période de 3 mois aux États-Unis. Les grandes banques américaines pourront verser des dividendes aux actionnaires et procéder au rachat des actions, seulement le volume des opérations ne devra pas excéder les revenus dégagés au cours de l’exercice antérieur.

Le paiement des dépenses des collaborateurs lors des déplacements professionnels s’effectue dans la plupart des cas avec une carte virtuelle. Cette pratique, adoptée par de plus en plus d’entreprises depuis quelques années, tend à se généraliser depuis l’avènement de la pandémie.

Le rapprochement avec les enseignes Crédit du Nord validé, Société Générale entame un ambitieux programme de réorganisation de son activité de banque de détail. À l’issue de ce processus, le groupe ambitionne de réduire sa base de coûts, optimiser sa rentabilité et continuer à satisfaire pleinement les besoins de sa clientèle.

D’après les résultats d’une récente étude menée par des médias spécialisés, Boursorama se retrouve encore en première place en tant qu’établissement bancaire le moins cher de France cette année. La filiale en ligne de la Société Générale occupe le podium sur la plupart des profils d’utilisateurs examinés, tels que « jeune inactif », « jeune actif », « employé », « cadre », « cadre supérieur » et « l’adepte du 100 % mobile ».

Il est courant qu’en début d’année, les institutions bancaires renouvellent leurs grilles tarifaires. Globalement, 2021 sera une année placée sous le signe de la hausse des frais bancaires. Sauf que, concurrence oblige, les banques ne vont pas chercher à aligner leurs tarifs et, forcément, les disparités seront nombreuses. Il appartient aux clients de bien choisir l’établissement qui leur convient.

La banque mobile britannique renfloue ses caisses. Après une campagne de collecte de fonds inachevée au mois de juin, l’institution a cette fois réussi un tour de table de 66 millions d’euros. Les investisseurs accordent à nouveau leur confiance à la fintech au vu de ses résultats du deuxième semestre 2020 en dépit du contexte pandémique.

Depuis quelques années maintenant, les banques digitales tentent de se faire une place de choix dans l’univers de la finance et semblent bien y parvenir. Mieux encore, avec la crise sanitaire, les banques en ligne et autres néobanques connaissent un essor plus important.

La plupart des banques dématérialisées proposent des offres en ligne complètes, accessibles à tous et sans cesse améliorées pour répondre au mieux aux attentes des clients. Pour rester dans cette optique, la filiale du groupe Crédit Mutuel - CIC a dernièrement préparé de bonnes surprises à ses abonnés. La banque en ligne offre 4 % de cashback pour une réservation sur Booking et une remise de 36 euros pour toute nouvelle souscription.

En 2019 et sur fond de crise des « gilets jaunes », les établissements bancaires se sont engagés auprès du président de la République à laisser leurs tarifs inchangés pour l’ensemble de l’année. Mais alors que les banques ont toutes opéré une hausse à l’issue de la période de gel des prix, Crédit Mutuel a décidé de ne pas réviser ses grilles tarifaires… Jusqu’à aujourd’hui.

Au Kenya, les grandes banques ont voulu faire preuve de solidarité en octroyant plus de crédits afin de soutenir les ménages et les entreprises en ces temps de crise. Ainsi, entre les mois d’avril et de septembre, le flux de nouvelles créances a considérablement augmenté. Mais vraisemblablement, leur bonne foi n’aura pas été récompensée.

Ces dernières années, l’univers bancaire s’est enrichi de nombreux nouveaux acteurs qui espèrent tous tirer leur épingle du jeu en amenant un concept révolutionnaire. Et la tendance est encore loin de s’inverser puisque, dans ce monde déjà très concurrentiel, un autre nouveau venu, originaire de Pologne, s’est fixé comme objectif de régner sur le service de paiement en ligne.

Par rapport à ses homologues néobanques et banques en ligne, ING était un peu en retrait dans le domaine de la variété des offres et services. Soucieuse de combler ce retard, elle a fourni des efforts considérables pour pouvoir proposer à ses clients un service de paiement mobile, en l’occurrence aux utilisateurs d’iPhone. C’est désormais chose faite.

À l’aube de son troisième anniversaire, Orange Bank va procéder à une restructuration de son offre en vue de rattraper son retard vis-à-vis de ses concurrents. La banque mobile a notamment scellé un nouveau partenariat avec un géant des solutions de paiement et prévoit de lancer son offre premium assortie d’un pack familial.

À l’heure actuelle, les supports numériques se développent continuellement, affectant jusqu’au domaine des finances. Ainsi, divers bouleversements ont été constatés au niveau de plusieurs points. Il s’agit entre autres de l’expansion de l’économie des plateformes et par conséquent, des cryptomonnaies. Un concept qui séduit plusieurs banques centrales, dont celle européenne.

Les néobanques sont à la base des banques dont les services ne sont accessibles que via des applications mobiles depuis un smartphone. Mais beaucoup d’acteurs à l’instar de Ma French Bank, Nickel ou Orange Bank, ont peu à peu évolué en donnant l’opportunité à leurs clients d’avoir accès à leurs comptes depuis un ordinateur. Quelles sont les raisons d’un tel virage ?

Vers le début de l’an 2000, le développement d’Internet bouleverse la sphère bancaire. Celui-ci voit notamment naître les néobanques et banques en ligne telles que Boursorama et ING Direct, des concepts inconcevables auparavant. En 2010, ces derniers connaissent un essor considérable avant d’atteindre la notoriété qu’ils ont aujourd’hui. Cela est dû en grande partie à Internet.

Selon une étude de notre comparateur de tarifs bancaires, une baisse globale de 0,65 % devrait être observée en 2021, portée par la mise en place de packages à prix réduit par les réseaux traditionnels. La politique tarifaire agressive des banques en ligne et des néobanques explique cette stratégie.