Octobre 2018

Une plateforme emblématique du crowdlending a récemment annoncé la cessation de ses activités. Concernant la gestion des prêts, Unilend explique avoir cantonné les fonds auprès de la Société Financière du Porte-Monnaie Electronique Interbancaire (SFPMEI). Cette dernière se chargera des opérations en cours, de sorte que les particuliers qui ont prêté de l’argent aux petites et moyennes entreprises n’en pâtissent.

D’ici deux ans, le taux d’intérêt du livret d’épargne préféré des Français ne sera plus en mesure de compenser la hausse généralisée des prix. Pour éviter que le pouvoir d’achat des populations les plus vulnérables ne se détériore, le gouvernement incite les établissements bancaires à promouvoir le Livret d’épargne populaire (LEP). Ce 27 novembre, la banque centrale de l’Hexagone émettra justement des directives à ce sujet.

Selon une association française qui milite pour l’action citoyenne, nombre d’industries polluantes recevraient des fonds investis dans les Livrets de développement durable et solidaire (LDDS). En effet, ce constat est le fruit d’une enquête effectuée auprès de la Caisse des dépôts et consignations (CDC). Comment peut-on s’assurer que seuls les projets écoresponsables sont financés par ces placements ? La Nef répond.

Comme Société Générale, les banques de réseau voient leurs chiffres se détériorer au profit des pépites du secteur bancaire que sont les banques digitales. Sachant que ces dernières proposent des tarifs ultra concurrentiels, leur part de marché grossit progressivement. Face à une telle situation, les banques de détail repensent leurs activités et tentent de réduire les coûts. Cette stratégie finira-t-elle par payer ?

En début de semaine, le géant bancaire américain a publié ses résultats pour le troisième trimestre de l’année. Les chiffres sont en nette progression par rapport à l’an passé, avec un bénéfice en hausse de +32 %, ce qui est assez important comparé au bilan d'autres grands acteurs américains du secteur, et qui représente une augmentation historique.

Les banques traditionnelles ont de plus en plus de mal à concurrencer les banques en lignes et autres fintechs, fruits de la révolution numérique. Et quand le Gafa (Google, Amazon, Facebook et Apple) vient aussi y mettre son grain de sel, les banques ont tout intérêt à trouver une stratégie de riposte. Si leur salut passait par une alliance ?

N26 va partir à la conquête du secteur des banques en ligne au Royaume-Uni, un marché aujourd’hui dominé par Revolut. Mais consciente de la position dominante occupée par cette dernière, la néobanque berlinoise évitera de concurrencer frontalement la fintech britannique, laquelle est bien implantée dans le pays. Elle souhaite au contraire miser sur une stratégie commerciale différente.

Le 30 octobre 2018 - Les frais de succession prélevés par les banques lors du décès d'un client ont fortement progressé depuis 2012. Nous avons analysé l'évolution de ce frais bancaire selon les banques. La note peut être très salée en fonction de la banque et varie de 75 euros à 450 euros !

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Si la loi Pacte est promulguée, les acteurs spécialisés dans les crypto-devises pourront détenir un compte bancaire ou un compte de dépôts, le cas échéant. La réaction de la Caisse des Dépôts ne s’est en tout cas pas fait attendre. Elle s’oppose à l’accès des émetteurs (Initial Coin Offering) aux comptes, pour des raisons de sécurité. Toujours est-il que les parlementaires examineront le projet de loi en janvier 2019.

Souscrire un compte professionnel coûte souvent cher à l’auto-entrepreneur qui démarre tout juste son activité. Certaines banques en ligne ont donc mis en place une offre adaptée à cette catégorie de clientèle. Tel est le cas de la banque à distance du groupe Crédit Mutuel-Crédit industriel et commercial. De nombreux clients ont déjà été séduits. Encore faut-il que le business model soit rentable. Tel est d’ailleurs le défi des banques en ligne, selon l’organe de supervision des activités

À l’occasion du dernier salon de l’innovation dédié aux professionnels, la startup manager.one a reçu la meilleure récompense. En effet, cette jeune pousse n’a cessé de proposer des solutions aux usagers des banques en ligne depuis sa création, tout en se positionnant en marque blanche. Ces efforts contribuent à construire la banque du futur et à révolutionner le marché.

Visa Premier, Infinite… telles sont les cartes bancaires proposées par la banque en ligne BforBank aux clients depuis le démarrage en 2011. Ses actions de communication et sa politique tarifaire ont longtemps laissé penser qu’elle ciblait les clients dotés de revenus confortables. Tout récemment, elle a élargi son offre pour satisfaire un plus grand nombre de clients potentiels, avec la carte Visa Classic.

Les ICOs sont désormais règlementés et les acteurs « blockchain » ont la possibilité de posséder un compte en banque. C’est ce qui résulte de l’adoption de l’amendement inséré dans l’article 26 de la loi PACTE, un amendement accueilli non sans méfiance par le gouvernement, mais qui a quand même été adopté, sous la pression des acteurs de la cryptoéconomie.

La technologie de reconnaissance d’empreintes digitales n’est pas nouvelle. Elle est déjà présente dans de nombreux terminaux de contrôle d’accès, comme les portes dotées de serrure biométrique ou encore les écrans tactiles des téléphones portables. Toutefois, pour la première fois, elle sera utilisée sur une carte bancaire, du moins en France puisque le Japon possède une longueur d’avance.

Crédit à la consommation, prêt immobilier, voire assurance-vie… Les banques dématérialisées ne cessent d’enrichir leur catalogue. Elles multiplient leurs offres dans le financement, le transfert d’argent, le paiement, la gestion de compte ou encore l’assurance. Cependant, certains produits demeurent difficilement trouvables auprès de ces plates-formes en ligne, notamment les livrets d’épargne classique comme le LEP ou le Livret Jeune. Décryptage.

Révolution numérique, fintechs, néo-banques… Dernièrement, ces termes reviennent très souvent. En effet, le monde de la banque est à un tournant de son histoire : les banques en ligne se multiplient et les agences doivent se réinventer. Les outils et les méthodes de transaction sont également en train de changer, ce qui n’est pas sans conséquences.

Faire peau neuve afin de suivre le mouvement, mais tout en conservant les valeurs qui ont fait leur notoriété, c’est aujourd’hui l’enjeu auquel sont confrontées les banques traditionnelles face à la révolution digitale. TagPay, une firme spécialisée dans le développement d’outils bancaires numériques, se propose de les aider à relever ce défi. Une arrivée en France a d’ailleurs été annoncée.

Outre la performance des obligations d’État, les banques italiennes n’échappent pas à la hausse excessive des taux. Dans ce contexte, les établissements bancaires en redressement doivent fournir davantage d’efforts pour se constituer les fonds propres réglementaires et mener à bien leur plan de financement pour l’année 2018. La pression est d’autant plus forte lorsque l’on sait que la capacité de l’État à rembourser ses dettes est mise à rude épreuve.

La gestion de finances en ligne revient désormais moins cher. Un rapport publié par le CCSF stipule qu’en 5 ans, l’abonnement à la gestion de compte sur Internet a connu une baisse de coûts d’environ 78 %. L’étude de ce comité montre également que si le coût annuel de ce service était de 10 euros en 2009, il a chuté à 1,74 euro vers le début de l’année.

Selon la néobanque N26, vérifier l’identité des clients en consultant une photographie de leur carte d’identité est moins risqué que le fait de procéder à un appel vidéo. Quoiqu’il en soit, l’autorité allemande de supervision financière dénonce cette procédure d'authentification. Elle estime que cette pratique masque l'identité des fonds acquis illégalement, en plus de déguiser celle du souscripteur. La Fintech reverra-t-elle ses méthodes ?