Une nouvelle réjouissante pour les établissements financiers européens, les dettes s’estompent progressivement.
Les entreprises européennes se voient criblées de dettes face à la crise liée au coronavirus. Les sommes empruntées pour leur lancement atteignent une somme insolite. Ainsi, pour mieux gérer la situation, les États ont décidé d’adopter le système d’émission de dette par syndication. Une méthode qui donne un grand avantage aux établissements financiers qui, eux, travaillent nuit et jour pour relever l’économie des pays en pleine régression.
La fin de la crise liée au covid-19 s’avère être un véritable dilemme pour de nombreuses grandes entreprises, un peu partout dans le monde. Les dettes sont immenses et certains pays s’engouffrent davantage, à cause des sommes colossales versées pour relancer l’économie. Pour la France, les dettes avoisinent les dizaines de milliards d’euros d’après les statistiques omises par la banque de France, ces chiffres dépassent ceux de la crise précédente en 2008.
D’un côté, nombreux sont les établissements financiers qui ont su tirer bénéfice de la crise pour s’octroyer de nouvelles dispositions de travail comme la digitalisation et ainsi garder leurs activités afin de faire fluctuer leur chiffre d’affaires en dépit de la situation. Selon les organismes chargés de comparaison des banques, cette année est une aubaine pour ces enseignes, qui disposeront de 500 millions d’euros en guise de commission.
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Un système plaçant les banques dans une position avantageuse
La crise financière déclenchée par la récente épidémie a mis à mal l’économie des pays européens, sans compter les nombreuses pertes humaines. Les grandes entreprises sont bouleversées face à la situation si bien que les États européens ont été contraints d’adopter leur système d’emprunt par la méthode de syndication.
De ce fait, les établissements spécialisés dans les dettes sont dans une situation très favorable, en mettant à leur profit une somme titanesque. Cela s’explique par un effort remarquable fourni par les acteurs qui, même cloitrés entre quatre murs durant le confinement, n’ont cessé d’accomplir leur devoir.
Sans compter la situation particulière actuelle poussant les États à adopter un système d’émission des dettes par adjudication, qui est une méthode n’avantageant guère les banques. Car elle consiste à émettre des enchères sur des biens immobiliers et permet aux membres de s’approprier des titres mis en adjudication.
Face à la crise actuelle, les gouvernements européens veulent garantir un système de sécurisation de plus, sauf pour les émissions massives de dettes et les sommes extraordinaires à emprunter. La syndication dans laquelle le Marché des Titres Publics(MTP) octroie aux États membres de débloquer la somme suffisante pour le financement de leur opération. Et pour compenser cela, les acteurs doivent émettre des bons et obligations de trésors, pouvant procéder aussi à un échange.
Dans cette situation, les banques tirent bénéfice de par les commissions acquises lors du déblocage des liquidités. En outre, cette méthode s’est propagée en un éclair vers divers pays européens comme Italie, Espagne, Allemagne et en France récemment.
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Des chiffres jamais observés en Europe
Il n’est plus à redire que les dettes deviennent accablantes. Et dans certains pays comme la France, de nombreuses entreprises se retrouvent dans une impasse. Ne comptant que le mois d’avril dernier, les enseignes concernées ont emprunté 163 milliards d’euros supplémentaires. Une situation considérée comme du jamais vu depuis une dizaine d’années. Ne serait-ce que de citer le cas de l’entreprise aérienne Air France qui a bénéficié d’un crédit de 4 milliards d’euros pour sa relance.
Dans une ampleur européenne, les dettes sont d’un montant ahurissant. Le nombre total transcrit en euro avec 280 milliards d’euros de dettes, en 2020, par le système de syndication.
De leur côté, les établissements financiers s’enrichissent avec un taux de commission de 0,20% sur les échéances d’une période de plus de 15 ans qui est une véritable bénédiction, et en plus de cela ils tirent encore bénéfice des intérêts remboursés par les nombreuses entreprises. D’après le baromètre de l’Agence France Trésor, les chiffres exacts des commissions versées par la France sont encore inconnus. Il faudrait patienter encore un moment pour les relever. À noter toutefois que, l’année dernière pour son cas, la France s’est libérée de 20 millions.