La digitalisation du secteur bancaire est on ne peut plus approuvée

Paiement avec une carte de crédit devant un laptop

La digitalisation s'est immiscée dans tous les secteurs d’activité. La pandémie a renforcé cette tendance. Cependant, dans l’univers bancaire, cette vulgarisation du numérique semble être un problème. Plusieurs plaintes sont déjà émises, portant notamment sur l’affluence des néobanques. Reste à savoir lesquelles des enseignes 2.0 resteront dans la concurrence, en fonction de l'évolution des choses.

Depuis un certain temps déjà, l’essor du digital est devenu incontestable. Justement, il s'accorde parfaitement à la modernité du monde d’aujourd’hui ainsi qu’au futur. Boostés par la rivalité, tous les domaines y passent. Depuis l’éducation, dont les cours sont transmis sur des plateformes numériques afin d'épauler les parents dans l'enseignement de leurs progénitures, à l'agroalimentaire ayant eu conscience que la présence en ligne permettait de cibler plus de clients.

La crise sanitaire aura encore rajouté son grain de sel dans cette course frénétique, car ces secteurs notamment ont été les plus fouettés. Les banques, de leur côté, n'auraient pas pu demander mieux. Si certains étaient sceptiques quant à la numérisation du secteur bancaire, d'autres étaient plus enthousiastes du fait de certaines circonstances fâcheuses dans la manière de faire traditionnelle. Puis, Coronavirus aura supprimé la majorité des voix pour l'ancien système, d'après les sites comparatif banque, qui mettent aussi un point important sur certaines différences entre les nouvelles venues dans le digital et celles anciennement installées.

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Du traditionnel au moderne

Peu de temps a suffi pour entraîner de grands groupes bancaires dans la digitalisation. BNP Paribas, par exemple, même si le projet de miser sur le numérique date d'il y a deux ans, elle a dû l’accélérer pour s'adapter au confinement. Sans cela, elle n'aurait pu ni fidéliser ses clients ni diversifier ses offres. En effet, les utilisateurs préconisaient, déjà bien avant, l’autonomie, par une consultation de solde ou encore un virement via leur espace client.

Les déplacements étaient moins réguliers sauf pour demander conseil, chose que proposaient déjà également les néobanques. Sous tant de pression, le groupe ainsi que ses concurrents ont alors opté pour une numérisation de la gestion de compte aux crédits dans la consommation ou l’immobilier. Un tel retournement de situation ne s'est pas présenté depuis des années. Les banques en ligne et les enseignes 100% mobiles, quant à elles, ont vu cette aubaine offerte sur un plateau d’argent.

Depuis que le cours de la vie de la France sort peu à peu de cet « arrêt dans le temps », le directeur général de Boursorama ne cesse de louer cette tournure. Effectivement, déjà lors de la quarantaine, le système de banque en ligne, c'est-à-dire effectuer toutes opérations bancaires via une application exploitable sur ordinateur ou sur Smartphone, cela depuis son domicile et quelle que soit l’heure, a été pratique.

Cela a notamment permis de convaincre bon nombre de personnes à s'y adonner, surtout les immunodépressifs. Mais ce n'est pas tout, leur atout majeur reste leur faible coût, que l'on parle de Boursorama (filiale de Société Générale), Hello Bank (filiale de BNP Paribas) ou Fortuneo (filiale d'Arkéa). Il souligne que leur frais de gestion avoisine les 10 euros par an à l'instar de celui des banques classiques à 200 euros. Certaines n'en facturent même pas. Dans la précarité causée par la crise notamment, le choix est vite fait.

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Les petits points qui font la différence

Sur un point, tout comme les banques en ligne, les nouvelles générations proposent également des tarifs forts intéressants. Ce qui les garde de manière stable dans la concurrence. Que ce soit Revolut ou N26, qui sont des Fintech spécialisées dans le paiement. Un collaborateur chez Deloitte, affirme justement que seuls leurs services sont payants. Mais les nouvelles mutées en étalent également une large gamme.

Le dirigeant de la banque moins chère de France affirme que les enseignes en ligne présentent des services et garanties similaires à ceux des banques traditionnelles. Boursorama par exemple, toujours selon ses dires, comme ses concurrents proposent de l’assurance vie, mais aussi des comptes titre et du crédit immobilier. Mais en plus, concernant cette garantie, elles assurent également une sécurité optimale grâce à une licence bancaire française ou européenne. Ouvrir un compte à la filiale Boursorama équivaut à en ouvrir un à la banque-mère la Société Générale.

L’analyse d’un expert a permis de conclure que, face à cela, les banques 2.0 innovent et cherchent des domaines encore inexplorés du secteur afin de les exploiter. Les paiements sans frais à l'étranger ou les achats des cryptomonnaies, comme le Bitcoin, via une application mobile sont possibles, par exemple, chez la Britannique Revolut. Des services, sans conteste, très ingénieux et montrant une nouvelle bouffée d'air frais. Cela va sans dire que des millions de clients en sont conquis.

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