La crise du coronavirus pourrait profiter aux épargnants
La période actuelle fait, sans nul doute, partie des heures les plus sombres vécues par l’Humanité. Le Covid-19 a fait des victimes par milliers et continue de sévir, paralysant l’économie à l’échelle mondiale. Mais quoi qu’il en soit, puisqu’il faut bien trouver du positif auquel se raccrocher, la dégringolade des marchés boursiers pourrait être une aubaine pour les épargnants.
Des opportunités à saisir
Les activités professionnelles, dans le monde entier ou presque, sont à l’arrêt ou au ralenti. Forcément, cette inertie a des conséquences sur les places boursières, lesquels se font déjà ressentir.
Important Le principal indice boursier de Paris, le CAC 40, dégringole à vue d’œil. Désormais, il est tombé à moins de 4 000 points alors qu’il présentait une valeur supérieure à 6 000 en février, juste avant l’accélération de la propagation du virus.
Pour les adeptes du PEA (plan d’épargne en actions), il s’agit d’une aubaine. Pourquoi ? Tout simplement qu’il est grand temps de s’interroger sur la marche à suivre, tenter de savoir si le fameux indice boursier a atteint son plancher. Et si oui, auquel cas, il pourrait être judicieux de procéder à quelques acquisitions.
En effet, si le CAC 40 touchait son plus bas niveau, il ne pourra que remonter à l’avenir. Les actions achetées par les épargnants auront gagné de la valeur.
Autre avantage non négligeable, les prélèvements sur les PEA sont fixés à 17,20 % au début, mais sont exonérés d’impôt sur le revenu après 5 ans de détention.
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Agir avec prudence et méthodologie… ou alors déléguer
Pour tirer profit du contexte actuel, l’épargnant aura pour principale tâche d’identifier le plus précisément possible le moment adéquat pour acheter et pour vendre.
Mais puisqu’ils sont fortement tributaires des fluctuations du marché boursier, les PEA ne sont pas dépourvus de risque et les pertes de capitaux sont très probables. Voilà pourquoi passer par un comparatif de banque pour choisir le meilleur partenaire financier s’impose.
Sinon, l’épargnant peut confier ses supports boursiers à un gestionnaire d’actifs, moyennant une commission. Ce professionnel sera plus à même de réagir aux fluctuations, d’investir dans les entreprises les plus prometteuses et de constituer des fonds de sécurité (fonds en euros).