Rachat, prise de participation au capital, partenariat… Les investissements des banques dans les FinTech se font de plus en plus nombreux. Aujourd’hui, les établissements bancaires voient dans les startups une opportunité pour élargir leurs marges de manœuvres. En effet, les banques rachètent ces jeunes pousses concurrentes pour épurer le marché, pour acquérir des clients plus rapidement, pour tirer profit de leur technologie disruptive et pour faire évoluer leur modèle économique.
Si elles proposent toutes deux une offre bancaire numérique, il existe toutefois quelques éléments de divergence entre une banque en ligne et une néobanque. La principale différence entre ces deux types de banques réside dans l’accessibilité et l’étendue de leur offre. Outre cela, les enseignes bancaires en ligne pratiquent des tarifs moins chers que les néobanques.
Le rachat surprenant du Compte Nickel par BNP Paribas a suscité plusieurs questions et réactions. Une situation à laquelle le public ne s’attendait pas, surtout avec la promesse récente de la Fintech sur le fait qu’elle demeurerait à l’écart du système bancaire. Si les réactions sont mitigées, la décision de la startup à s’allier à un grand groupe bancaire trouve tout de même son explication.
Le secteur de la banque virtuelle a déjà fait preuve d’une grande innovation en mettant en place le système de validation de paiement par empreinte bancaire. Mais avec l’avancée de la technologie, le domaine ne cesse d’apporter de nouveaux changements. L’année 2017 annonce déjà d’autres progrès dans le domaine. Et d’ailleurs, les prévisions de croissance de l’année sont très encourageantes.
Depuis six mois, Spendesk propose une solution aux PME européennes pour gérer leurs paiements. La jeune FinTech est bien positionnée pour jouer un rôle majeur dans la manière de consommer dans le monde professionnel actuel. Elle a le bon produit pour prendre une place de leader sur le marché.
Aujourd’hui, nombreuses sont les start-up associant technologie et finance qui s’installent sur un marché aux fortes barrières à l’entrée. Ces nouveaux entrants jouent sur l'image écornée du secteur par la crise financière afin d’attirer des clients à la recherche de tarifs moins chers ainsi que d'un service plus simple et réactif.
Les établissements bancaires sont tenus d’envoyer gratuitement à leurs clients un relevé de compte, ce document qui récapitule toutes les transactions de l’usager, chaque mois. L’émission du relevé bancaire traditionnel, celui en papier, génère pourtant certaines dépenses chez les banques. Pour échapper à ces coûts, les enseignes orientent leurs clients vers le relevé de compte électronique. Gros plans !
Le groupe Lyra Network, leader en sécurisation des paiements en ligne a annoncé l’acquisition de 7 500 mètres carrés à Labège, à proximité de son siège social actuel. Si la société a récemment ouvert une filiale au Mexique, elle prévoit également de se déployer encore plus à l’international, notamment au Pérou et en Argentine. Un projet d’extension qui accompagne la dynamique de croissance de la Fintech, actuellement en plein recrutement.
Suite aux dispositions prévues par la loi Macron, Boursorama ne s’est pas attardée pour faire un grand pas vers la mobilité bancaire. Cette ouverture offre davantage de liberté et d’option aux clients.
Désormais, les virements vers d’autres banques seront rendus possibles. En effet, Boursorama a fait de la simplification des procédures une priorité en prenant en charge toutes les formalités. Elle fera en sorte que la mobilité bancaire soit la règle pour toutes les transactions.
La nouvelle est tombée lors du « Show Hello » annuel de l’opérateur téléphonique Orange, Orange Bank lancera une carte bancaire gratuite et sans tenue de compte à partir de début juillet 2017.
La popularité des banques en ligne n’a cessé de croître au cours de ces dernières années. Avec l’entrée en vigueur de la disposition de la loi Macron sur la mobilité bancaire, les autres avantages accessibles auprès de ces organismes financiers virtuels et l’entrée sur le marché d’Orange Bank et d’autres néobanques, le phénomène ne peut que s’amplifier.
L’essor de la digitalisation et la chute de la fréquentation des agences physiques poussent les banques françaises à se réinventer. L’objectif est double : faire revenir les clients dans le réseau ou en capter de nouveaux, et susciter leur confiance. C’est dans ce contexte que se développent les communautés digitales, qui rassemblent les clients et prospects et permettent échanges et partages de conseils sur la banque et la finance.
Depuis quelques années, les FinTech et les banques ont décidé de se rapprocher pour mettre en place un partenariat gagnant-gagnant. Les établissements bancaires apportent aux startups leurs moyens financiers, leurs infrastructures, leur base client et leurs relations institutionnelles pour renforcer le développement de celles-ci. Elles déploient en revanche leurs compétences digitales pour accélérer la mue numérique des banques de réseau.
Largement plébiscitée par ses utilisateurs, ING Direct veut aller encore plus loin en améliorant davantage sa relation client. Afin de réaliser son ambition, la banque en ligne oriente sa stratégie sur le développement d’une offre simple mais novatrice, proche des besoins de ses usagers. Pour ce faire, l’établissement mise sur une co-construction avec les clients et un renforcement de sa collaboration avec les FinTech. Entretien avec Olivier Luquet, le Directeur Général de l’enseigne !
Depuis quelques années, les acteurs financiers font recours aux services des FinTech pour accélérer leur transformation numérique et favoriser l’innovation. Ce mouvement est flagrant dans le domaine de la banque et de l’assurance où les institutions financières adoptent les technologies des FinTech, notamment l’intelligence artificielle et la blockchain, pour améliorer leurs offres.
Monabanq propose une solution de relation client adaptée aux personnes atteintes de déficience auditive. La banque 100% en ligne signe un partenariat avec DEAFI pour déployer son nouveau service. Les clients comme les prospects sourds et malentendants de l’enseigne sont mis en relation avec un interprète de DEAFI et un conseiller bancaire tenus de prendre en charge leurs demandes.
La banque de nouvelle génération N26 gagne du terrain sur le marché bancaire européen. Séduisant de nombreux consommateurs grâce à ses offres bancaires pratiques et innovantes l’enseigne compte aujourd’hui plus de 300 000 clients répartis dans plus de 17 pays européens. En France, la banque numérique, qui affiche à l’heure actuelle près de 30 000 clients, ambitionne d’en signer 70 000 de plus dans les mois à venir.
Les banques en ligne auront bien compris que l’écoute active est essentielle pour une relation client réussie. C’est ainsi que bon nombre d’établissements bancaires numériques ont instauré une communauté autour de leurs services. L’idée est de collecter et d’échanger des informations avec les usagers afin de répondre d’une manière personnalisée aux attentes de ces derniers.
Lancées depuis les années 2000, les banques en ligne ne gagnent la confiance des Français qu’en 2006. Une décennie s’est ainsi écoulée depuis que les établissements bancaires numériques ont changé la perception des consommateurs de la banque. Quel est le bilan actuel ? Aujourd’hui, le marché de la banque en ligne attire de nombreux acteurs de divers secteurs d’activité.
Le groupe bancaire international BNP Paribas rachète le Compte-Nickel, cette solution qui permet l’ouverture d’un « compte sans banque » en quelques minutes, auprès d’un buraliste. La banque de la rue d’Antin acquiert 95% des parts de la société qui exploite ce produit financier. Ce rachat ne modifiera aucunement les services proposés par le Compte-Nickel.
Soucieuses de répondre aux exigences de leurs clients, les banques en ligne se sont investies dans le secteur du crédit immobilier depuis quelques années. Elles viennent ainsi concurrencer les offres des établissements bancaires traditionnels en proposant des prêts avantageux, tant en termes de rentabilité que de praticité. Gros plans !
Les consommateurs français font de plus en plus confiance aux banques numériques. En effet, ils redoutent moins le fait d’ouvrir un compte au sein d’un établissement bancaire en ligne. Une étude révèle d’ailleurs qu’entre 2015 et 2016, le nombre de Français qui détiennent un compte bancaire numérique a crû de 20%.
L’offre bancaire pour les professionnels s’est étoffée ces dernières années : de plus en plus d’acteurs leur consacrent des formules de compte en ligne dédiées. Là où une entreprise (ou un entrepreneur) se serait naturellement tournée vers une banque traditionnelle il y a quelques années, le choix est aujourd’hui plus vaste et donc plus difficile à faire. En effet, les sociétés peuvent choisir entre banques physiques, banques en ligne et autres fintechs spécialisées qui distribuent des comptes mobiles.
Constatant qu’une part non négligeable de sa clientèle n’est pas habituée aux services bancaires dématérialisés, la Banque Postale a déployé un programme d’inclusion bancaire par le digital. Elle a en effet décidé de former ses collaborateurs pour que ces derniers puissent familiariser les clients de l’enseigne aux opérations bancaires numériques. Tour d’horizon !
25 % des Français déclarent être prêts à quitter leur banque en faveur d’une fintech. C’est-ce que révèle une étude réalisée par Harris Interactive auprès d’un échantillon représentatif composé de 2000 personnes. Cependant, les établissements traditionnels ont encore de l’avenir devant eux, à condition d’apprendre à coopérer avec les nouveaux acteurs.
En raison de la digitalisation de l’économie, les établissements financiers font face à certains défis quant à l’intégration des personnes âgées au système de plus en plus dématérialisé. En effet, ces derniers doivent mettre en place des produits et des services adaptés aux conditions de cette population, notamment en matière d’accompagnement et de protection des seniors. Gros plans !
Carrefour, le géant de la distribution, lance une nouvelle offre de compte courant en ligne qu’il baptise C-Zam. Disponible le 18 avril prochain, le compte est accessible à toute âgée de 18 ans, sans condition de revenus ni de dépôt minimum pour un tarif de un euro par mois. Décryptage !
En dépit des taux bas et des nouvelles obligations en matière de gouvernance des instruments financiers imposées par la directive MIF 2, les pronostics de BNP Paribas quant aux revenus pour ses « marchés domestiques » (essentiellement la France, la Belgique et l’Italie) semblent plus favorables.
Abandonné par son actionnaire, l’établissement bancaire britannique Tandem Bank se trouve dans une mauvaise passe. Ne pouvant pas remplir les exigences de la Banque d’Angleterre, la FinTech a en effet été forcée de renoncer temporairement à sa licence bancaire. Conséquence, elle est obligée d’ajourner ses projets de lancement. Gros plans !
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