Citi multiplie les gestes en faveur des victimes du coronavirus
En cette période sombre où le coronavirus continue de faire des ravages, voir que les gestes de solidarité se multiplient également est plus que réconfortant. Si les particuliers savent se serrer les coudes, de nombreuses institutions ont aussi mis en place des mesures de soutien à destination des victimes. La banque américaine Citi a tenu à apporter sa contribution dans cet élan de solidarité nationale.
Une habituée des œuvres caritatives
La banque américaine Citi met un point d’honneur à être très active dans les œuvres de bienfaisance. Sa présence sur les fronts de la lutte contre le coronavirus est donc loin d’être une surprise.
Dans cette optique, elle a débloqué un montant d’environ 15 millions de dollars. Divisée en trois parts égales, cette somme servira à financer les recherches pour d’éventuels traitements et à nourrir des enfants en difficulté un peu partout aux États-Unis. L’emploi du dernier tiers n’a pas été précisé. Il pourrait servir, par exemple, dans l’approvisionnement en masques ou en gel hydroalcoolique.
Par ailleurs, les responsables de la banque ont également fait savoir que
Important Les actions de Citi ne seront pas limitées à la population américaine.
Elle compte aussi apporter son soutien dans les autres pays du monde, en l’occurrence les plus touchés.
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Les Américains dispensés de frais bancaires
Avant de penser au reste du monde, Citi a tenu à faire un geste en direction des Américains infectés et affectés par le Covid-19. Elle a donc décidé que ces derniers n’auront pas à se préoccuper de tarif bancaire pour une durée de 30 jours au moins. Si la situation s’aggrave et que le confinement est toujours de rigueur, elle pourrait envisager le prolongement de cette gratuité des services.
Songeant également à l’après-crise, Citi élabore d’ores et déjà des stratégies pour favoriser la relance de l’Économie. Aux États-Unis, elle a, entre autres, promis la disponibilité de ses banquiers même le week-end, au cas où les clients souhaiteraient une consultation.
Enfin, la banque américaine n’écarte pas la possibilité de revoir à la hausse sa contribution financière dans la tentative de sortie de crise.
