Des applications dédiées à l’épargne pour améliorer le parcours client

Un couple avec un smartphone devant leurs finances

Après les agrégateurs de comptes, les applications mobiles dédiées à l'épargne commencent à gagner en popularité au niveau mondial. La start-up Bruno, par exemple, revendique actuellement près de 100 000 clients, contre près de 40 000 usagers pour Yeeld. Le principal objectif de ces Fintech est d’améliorer le parcours utilisateur de l’épargnant sur tous les plans.

Les applications d’épargne proposées par les nouveaux acteurs du secteur bancaire promettent des épargnes automatiques, amusantes, intelligentes et « indolores ». Simple et efficace, ce principe séduit de plus en plus les consommateurs.

Les Milléniaux font partie des premières cibles de l’offre développée par les jeunes pousses. Comme ils se familiarisent aisément avec le digital, les applications bien pensées permettent de les inciter à épargner.

Ces outils visent essentiellement ces petites sommes trop souvent négligées par les consommateurs. Si le rendement qui en découle n’est pas particulièrement important, cette pratique brise les codes observés dans la finance traditionnelle.

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Une alternative au dépôt pouvant demeurer rentable ?

La plupart du temps, les applications d'épargne offrent un rendement qui dépasse à peine celui du Livret A (qui affiche un taux de 0,75 %). Toutefois, ce service possède d’autres atouts.

Comme l’explique Florent Robert, dirigeant de l’application Bruno :

« Les sommes envoyées à Bruno sont détenues par deux banques partenaires : le Crédit Mutuel et Carrefour Banque. Ce sont ces mêmes établissements qui versent des intérêts au taux de 1 % à nos clients ».

Florent Robert.

L’application Yeeld, pour sa part, se préoccupe particulièrement de l’amélioration du pouvoir d'achat de l’utilisateur. Selon Nagib Beydoun, cofondateur de la Fintech :

« Les sommes épargnées sur Yeeld pourront être transférées sur un portefeuille Amazon. Dans ce cas, l'utilisateur bénéficiera d'une augmentation de son pouvoir d'achat de 4 %. Cent euros collectés sur Yeeld se transformeront en 104 euros sur Amazon ».

Nagib Beydoun.

De son côté, Cashbee promet 1 % de taux d'intérêt durant la première année. En somme, les rémunérations dans le secteur se révèlent assez faibles.

En dépit des apparences, les Fintech spécialisées dans l’épargne se sont lancées sur un marché porteur et sont promises à un brillant avenir. D’après le Cercle de l'Épargne, les comptes courants des Français renferment actuellement près de 440 milliards d'euros en dépôt. Le volume de cet argent dormant invite les acteurs du secteur à réinventer l'épargne ainsi que l’univers de la finance en général.

Pour ce faire, les applications d’épargne ont notamment fait appel à l’intelligence artificielle. Leurs algorithmes permettent de faciliter le processus et d’alléger les investissements dans le déploiement de ce service. Ils servent surtout à détecter les éventuels excédents dans la trésorerie de l’utilisateur.

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Une réinvention du parcours d’épargne

La nouvelle forme d’épargne s’inspire du modèle de la banque mobile, des agrégateurs et d’Uber. L’application s’installe en seulement quelques minutes et se révèle particulièrement pratique. Elle offre une interface soignée. Après l’installation, il suffit d’associer l’outil à un ou plusieurs comptes de l’utilisateur.

Les dispositifs d’épargne proposés par les Fintech s’avèrent plus pratiques en termes de souscription comparés aux supports impliquant des démarches traditionnelles, même s’ils nécessitent des pièces justificatives d’identité et de domicile.

Par ailleurs, certaines applications comme Yeeld se présentent comme de vrais comptes de paiement en aidant l’utilisateur à créer un Iban. Néanmoins, leurs fonctionnalités restent focalisées sur l’épargne.

Pour ces nouveaux acteurs, le premier défi consiste à réinventer l’expérience bancaire. Il faut ainsi proposer plus que de simples services bancaires. Cette volonté de rupture avec le modèle traditionnel est notamment perceptible dans le développement de l’application Bruno. Au départ, l’outil a été proposé sur Messenger. Un assistant virtuel recommandait aux utilisateurs d’épargner certaines sommes en fonction de leur profil.

Ce concept est appelé « saving gaming » aux États-Unis, c'est-à-dire épargner sans forcément en prendre conscience. Comme l’explique le cofondateur de Yeeld, Nagib Beydoun :

« Il est possible d'épargner 1 378 euros en cinquante-deux semaines avec 1 euro économisé en semaine 1, 2 euros en semaine 2 et ainsi de suite jusqu'à 52 euros en semaine 52 soit 1.378 euros épargnés en un an, sans s'en rendre compte ».

Nagib Beydoun.

La jeune pousse Cashbee, quant à elle, s'est inspirée de Tinder pour inciter ses clients à épargner. Il suffit de balayer du doigt pour transférer de l’argent de son compte courant à son compte épargne.

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