À l’instar de nombreux secteurs, les services bancaires ont été profondément marqués par le phénomène de la digitalisation. Les acteurs du secteur doivent ainsi s’adapter à cette nouvelle tendance et à l’évolution du comportement des consommateurs pour assurer la pérennité de leur activité. En effet, il s’agit désormais d’un élément incontournable dans toute stratégie développée dans ce domaine.
L’Open Banking risque de bouleverser le monde de la finance dans les années à venir. Concrètement, il s’agit d’autoriser l’échange d’informations entre une banque et un tiers, à priori dans l’objectif de créer des offres plus adaptées à leurs clients communs. En France et même en Europe, les établissements financiers se montrent encore réticents vis-à-vis de la pratique, soucieux de préserver la confidentialité des données.
La Fintech Alma a récolté 3,3 millions d’euros lors d’une levée de fonds finalisée récemment. Ainsi, elle peut désormais affronter son avenir en toute sérénité. D’ailleurs, après s’être attaquée au marché des boutiques en ligne, la start-up développe actuellement une solution de facilité de paiement permettant de régler ses achats en plusieurs fois dans une boutique physique.
À part quelques irréductibles, les Français ont définitivement adopté les applications mobiles bancaires. Ces dernières ont d’ailleurs contribué au succès phénoménal des néobanques et au changement radical des habitudes des consommateurs. Ainsi, les établissements bancaires traditionnels et les banques en ligne ont dû s’adapter au nouveau contexte pour fidéliser leurs clients et en séduire de nouveaux.
Les banques en ligne misent davantage sur les cartes bancaires « haut de gamme » à contrôle de solde, au détriment des cartes « premium » classiques. Mais que valent-elles vraiment ? Et l’autre question à se poser est : à quelle catégorie de clients s’adressent-elles réellement ?
Juste après l’annonce du projet Libra, la BRI (Banque des règlements internationaux) a émis des réserves concernant l’entrée des Bigtech dans le domaine de la finance. La banque des banques centrales a toujours reconnu l’importance de la concurrence dans le secteur bancaire. Toutefois, il est indispensable de rester vigilant par rapport à l’impact de ce type d’initiative sur la stabilité financière.
Faire des bénéfices représente un enjeu majeur pour les néobanques sur un marché français de plus en plus concurrentiel. Pour BNP Paribas, un changement de modèle pour sa banque mobile est indispensable pour sortir du lot, alors que les enseignes proposant leur service sur smartphone dans l’Hexagone se multiplient. Il prévoit ainsi de concentrer son offre sur trois catégories de clients : les auto-entrepreneurs, les travailleurs en freelance et les Millennials.
Les néobanques britanniques connaissent un franc succès auprès des investisseurs. Dans un récent communiqué de presse, Monzo déclare avoir bouclé un tour de table de 144 millions de dollars destinés à financer sa croissance outre-Atlantique. Sa valorisation passe ainsi de 1,3 milliard à 2,5 milliards de dollars, ce qui lui permet de devancer sa rivale Revolut.
Avec la multiplication des néobanques, dont plusieurs comme N26 et Revolut ont leur siège hors de l’Hexagone, des centaines de milliers de Français détiennent donc des comptes bancaires à l’étranger. Or, bon nombre d’entre eux n’ont pas pensé à les déclarer à l’administration fiscale. Ce faisant, ils s’exposent pourtant à des sanctions.
Après dix-huit mois d’activité, Shine compte quelque 50 000 clients professionnels. Elle vient de lancer pour eux une offre premium spéciale comprenant des garanties étendues. Un guichet unique ouvre également, pour alléger les formalités administratives des créateurs d’entreprise et leur faire bénéficier de l’accompagnement d’experts.
L’univers de la banque, et Société Générale en particulier, a traversé des moments difficiles au cours de ces onze dernières années. Frédéric Oudéa, le DG de l’enseigne, a fait un tour d’horizon des défis que les institutions financières doivent relever, en compagnie d’acteurs de différents secteurs et de journalistes du Parisien.
Bonne nouvelle pour les cinéphiles qui utilisent un téléphone mobile de la marque à la pomme. Grâce à un partenariat avec Pathé Gaumont, la firme de Cupertino leur propose désormais d’acheter leur ticket en ligne avec Apple Pay et de charger celui-ci directement sur leur smartphone. L’accès à la salle est assuré par un système sans contact, ce qui leur évite de longues files à la caisse et à la porte.
Recouvrant différents modèles, le terme « Bank-as-a-plateform » doit être cerné par les différents acteurs du secteur financier. Ce concept s’instaure comme une solution face aux nombreux problèmes rencontrés dans le domaine bancaire ces dernières années. Il encourage notamment les établissements à procéder à un partage de leur marché, de leurs prestations et de leurs services.
L'émergence de nouveaux concurrents dans le secteur de la banque en ligne a poussé BNP Paribas à innover. Le groupe a présenté ses dernières innovations à l’occasion de l'UX Day organisé au mois de juin dernier. La banque française et ses filiales ont mis l’accent sur l'amélioration du quotidien des utilisateurs connectés.
À l’ère du numérique, tous les services se réalisent sur Internet, y compris ceux des banques. Les établissements digitalisés ont révolutionné de nombreuses pratiques dont la gestion des finances. C’est ainsi que les banques en ligne se sont démocratisées. Peu appréciées par les Français au départ, ces dernières ont su se positionner sur le marché de la finance par le biais de leurs prestations.
Souhaitant se lancer dans le mobile banking, La Banque Postale lancera sa banque en ligne cet été. Baptisée Ma French Bank, cette dernière s’adresse particulièrement à un public jeune. À travers cette nouvelle enseigne, la filiale bancaire La Poste ambitionne de signer un million de clients, d’ici 6 ans. Pour réaliser cet objectif, elle déploie plusieurs offres et services via sa banque mobile.
Acteur de l’innovation, la néobanque Moneway ambitionne de déclencher une révolution dans le secteur bancaire en France. Son équipe s’est donné plus d’une année pour peaufiner le projet et annonce être prête pour le lancement de son application mobile. Afin de s’assurer que tout fonctionne comme prévu, la start-up teste actuellement la version bêta. Et en attendant le lancement officiel, elle organise un premier tour de table visant à réunir 1,137 million d’euros.
La néobanque Nickel a indiqué qu’elle était en train de travailler sur un nouveau type de carte. Dotée de la technologie NFC (Near Field Communication ou littéralement sans contact), celle-ci permet de régler ses achats chez le commerçant en quelques secondes, juste en effleurant le terminal. Pour l’heure, aucune date de sortie n’est annoncée. Mais son lancement devrait intervenir au plus tard d’ici la prochaine rentrée.
Sans délaisser son cœur de métier, Linxo élargit son domaine d’activité et souhaite aujourd’hui devenir un établissement bancaire à part entière. Pour l’année prochaine, elle envisage de lancer de nouveaux services habituellement réservés aux banques. Les détails de ce revirement stratégique, qui est en train de s’opérer en douceur, ont été portés à la connaissance du public.
Dans un récent communiqué, ING a annoncé plusieurs nominations au sein du Comité de Direction de sa succursale en France. Frédéric Niel, un ancien de BNP Paribas, reprend l’activité de banque en ligne. Les quatre hommes et quatre femmes de ce nouveau comité vont mettre leur expertise commune au service de la croissance du groupe sur le marché tricolore.
À l’ère du digital, de nombreux services sont numérisés au sein des entreprises. C’est ainsi qu’au sein des banques en ligne, la quasi-totalité des opérations sont réalisées sur Internet. De nombreuses informations et données sensibles sur les clients transitent alors sur le Web. Ces derniers s’interrogent sur l’efficacité de la protection de leurs données.
