La concurrence sur le secteur bancaire s’intensifie. Les enseignes traditionnelles accélèrent leur transformation numérique, les néobanques porteuses d’innovations se multiplient, et les acteurs issus d’autres domaines d’activité se lancent sur le marché. Pour les banques en ligne, les défis sont de taille : s’adapter aux nouveaux comportements et attentes des usagers, composer avec des adversaires toujours plus nombreux et atteindre la rentabilité.
Saxo Banque profite du regain d’appétit des Français pour la Bourse pour publier sa nouvelle grille tarifaire, particulièrement compétitive sur les actions. Pour l’enseigne, qui se spécialise dans les « produits dérivés à levier » depuis ses débuts, l’investissement en actions était dans les starting-blocks depuis bien longtemps, mais n’a pas pu être lancé à cause de deux freins majeurs : l’interdiction de la publicité en ligne des produits financiers hautement spéculatifs (Forex, CFD, option binaire) et la stagnation du volume de transactions.
La popularisation de l’Internet et le développement des transactions digitales, reflètent l’étendue de la créativité humaine. Actuellement, le digital contribue à améliorer la qualité de vie des employés. Dans le secteur bancaire, notamment, la banque de détail française, la filiale du groupe Axa a pris des initiatives dans ce sens. C’est ce que confirme sa Directrice des Ressources Humaines, durant une interview.
Le phénomène de la digitalisation a un impact significatif sur les banques traditionnelles. Pour rester compétitives face à l’avènement des banques en ligne, du digital et de l’IA, elles sont contraintes de réviser leur mode de fonctionnement. Ainsi, les DRH s’activent pour créer de nouveaux postes plus adaptés aux attentes des consommateurs.
Aujourd’hui, la plupart des Français possèdent des comptes bancaires. Compte épargne ou compte courant, les établissements bancaires offrent plusieurs formules qui correspondent à tous les profils de consommateurs. Ils permettent même qu’un individu soit titulaire de plusieurs comptes à la fois. Il arrive toutefois qu’à force d’en avoir souscrit en grand nombre, les souscripteurs finissent par en oublier l’existence de certains.
L’activité de banque de détail est en pleine transformation avec l’avènement du digital. La direction des ressources humaines est particulièrement affectée, avec des réductions massives d’effectifs. Pour les opérationnels aussi, des changements majeurs s’opèrent afin de s’adapter aux nouvelles demandes de clients de plus en plus volatiles. De plus, des concurrents d’un nouveau genre arrivent sur le marché.
C’est une véritable révolution qui s’opère dans le monde bancaire, notamment avec l’arrivée en force des néo-banques, qui bousculent les banques traditionnelles et en ligne. Ces dernières notamment doivent redoubler d’efforts pour proposer en urgence une expérience utilisateur plus complète sur mobile si elles ne veulent pas être délaissées par les usagers, en particulier les Millennials.
En vue d'étendre son offre à propos de l'assurance automobile, la banque en ligne de la Société Générale propose le produit nommé Carapass, qui représente une assurance automobile conçue par Société Générale Insurance. Il vise en effet à appliquer l'UBI (usage based insurance), et est dédiée aux conducteurs occasionnels. Explications !
Pour cette année et pour la première fois, Monabanq remporte le trophée du service client dans la catégorie banque en ligne. Ce prix distingue la qualité de son support clientèle. Son slogan « Les gens avant l’argent » s’est avéré un choix judicieux et a été suivi d’un ensemble d’actions permettant de répondre au mieux aux attentes de sa clientèle.
Les banques en ligne continuent leur percée, au détriment des banques traditionnelles. La qualité de leurs services est une des explications à cette tendance. Les jeunes sont les premiers à y trouver leur compte. Ils peuvent effectivement réaliser l’ensemble des opérations bancaires via leur Smartphone. Les moins jeunes sont plutôt satisfaits de la convivialité associée à ces services.
Il n’est pas rare qu’un achat par carte bancaire soit refusé faute de solde disponible sur le compte du titulaire. Aujourd’hui, une startup propose une formule afin de pallier ce problème. Il s’agit d’une carte qui permet de partager ses dépenses en temps réel. Focus sur cette solution exclusive de la Fintech Sharepay.
La filiale française d’ING entend révolutionner le secteur de la banque digitale avec un mode opératoire très humain. En effet, sa nouvelle stratégie est caractérisée par l’omniprésence des conseillers. Elle se démarque alors de ses concurrents qui ont tendance à faire de la digitalisation excessive, laquelle se révèle contre-productive en termes de relation client.
Les premières banques numériques ont fait leur apparition dans les années 2000. Parmi elles, on distingue Fortuneo et Boursorama. Elles cherchent leur place face à Orange Bank et aux startups financières telles que Revolut, N26 et Compte-Nickel. En effet, il faut savoir que ces dernières bouleversent actuellement le secteur bancaire.
Dans le cadre de son plan stratégique et financier baptisé « Transform to grow », la Société Générale donne la priorité à la digitalisation de son offre. Pour le groupe, accélérer cette transformation est crucial pour son développement sur un marché bancaire européen en pleine mutation. En parallèle, d’ici à 2020, il se fixe comme objectif de continuer à maîtriser ses coûts, terminer le recentrage de son activité et généraliser la culture de responsabilité en interne.
Bien que ne disposant pas de revenus réguliers, les jeunes et les mineurs ont également le droit de posséder une carte bancaire. Actuellement, des offres dédiées aux jeunes font leur apparition sur le marché. Vous correspondez à ce profil ? Afin de bien choisir la formule qui vous convient le mieux, qu’il s’agisse d’une carte de paiement, d’une carte de paiement prépayé ou d’une carte à autorisation systématique, il faut avant tout connaitre leurs spécificités et les conditions associées.
Les Européens sont des habitués du transfert d’argent, mais en contrepartie de sa praticité, ce type de service coûte cher. C’est précisément pour réduire les frais associés à cette opération que Les FinTechs sont nombreuses à proposer des outils digitaux innovants. Selon une enquête réalisée par Censuswide pour Azimo au premier trimestre 2017 en France, au Royaume-Uni et en Allemagne, les utilisateurs pourraient ainsi économiser 7 milliards d’euros par an.
Contrairement aux banques traditionnelles, les enseignes bancaires numériques offrent gratuitement une carte bleue à leurs clients. Elles demandent toutefois certaines contreparties pour cette gratuité. Certaines se rattrapent sur les frais de tenue de compte et de retraits, d’autres exigent un niveau de revenus ou d’épargne minimum alors que d’autres somment les utilisateurs à effectuer un certain nombre d’opérations avec leur carte bancaire. Détails !
Les épargnants français restent encore méfiants vis-à-vis des offres de placement en ligne. Il faut dire que celles-ci sont encore méconnues du grand public. Certains épargnants sont aussi sceptiques envers les banques en ligne. D’autres rechignent à confier leurs économies à des algorithmes. Ils ont besoin d’être rassurés par un conseiller humain, en termes d’épargne.
Dépenses inutiles, découverts trop fréquents, certains usagers bancaires ont manifestement du mal à gérer leur argent. En vue d’aider ces personnes en situation de difficulté financière, les Fintech et les banques en ligne proposent un service de coaching bancaire. Il s’agit d’accompagner et de conseiller les clients afin qu’ils puissent mieux gérer leurs finances personnelles.
Le marché bancaire et financier a connu d’importants changements depuis quelques années. Ce développement a surtout été actionné par l’entrée des banques dites de « nouvelle génération ». L’évolution du marché a commencé par l’arrivée des banques en ligne, et, aujourd’hui, des Fintech et des banques mobiles. Avec la pluralité des acteurs, chaque enseigne tente de se démarquer en proposant des services aussi performants les uns que les autres.
Sogexia figure parmi les premières Fintech à avoir reçu l’agrément d’opérateur de services de paiement et de monnaie électronique. Cette capacité lui permet de proposer un compte de paiement 100% digital, lancé depuis 2016. Dans sa politique de fidélisation de nouveaux clients, l’enseigne présente une ouverture de compte en 5 minutes, sans conditions ni frais cachés.
Le secteur bancaire intéresse de plus en plus d’investisseurs. Après l’entrée des banques à distance, des Fintech de la finance et des banques mobiles, l’influence des GAFA est aujourd’hui à surveiller de près. Certes, les services proposés par les acteurs déjà existants sont intéressants, mais il est indéniable que les GAFA font partie intégrante du quotidien des Français.
En France, la bourse en ligne intéresse bon nombre d'investisseurs. Actuellement, on enregistre 390 000 actifs. Le courtage en ligne se porte bien, les tarifs se stabilisent et les courtiers se pressent pour proposer des offres promotionnelles aux nouveaux investisseurs. En outre, différentes opérations peuvent s'effectuer via le Smartphone. Explications !
Les banques virtuelles ou cyberbanques ont fait leur apparition dans les années 2000. Boursorama et Fortuneo ont alors fait figure de précurseurs. Dernièrement, les Fintech sont venues les concurrencer. Ces startup financières s’en donnent d’ailleurs les moyens grâce à des offres et services parfois aux antipodes de ceux des banques virtuelles.
Aujourd’hui, les néobanques connaissent d’énormes succès en tant que banques de détail. Elles se développent énormément et proposent des offres simples, pratiques et à coût réduit. Pourtant, au niveau de l’épargne en ligne, les clients français restent toujours réticents. En même temps, une étude révèle que ces derniers sont peu, voire même mal informés par rapport aux différentes propositions de placement de l’épargne en ligne.
Du fait de l’évolution du marché africain de l’assurance, AXA a décidé de revoir sa stratégie sur le continent. Concrètement, le numéro deux mondial des assurances prévoit de réduire ses positions en Afrique en se débarrassant de deux tiers de ses filiales implantées dans le continent. Elle compte par ailleurs y accélérer sa digitalisation. Détails !