Notamment à cause de la concrétisation du concept « villes intelligentes », les établissements bancaires, que ce soit ceux dits traditionnels ou bien ceux en ligne, subissent une concurrence venue de toute part. Mais plus qu’une menace, si la ville intelligente venait à devenir réalité, les banques pourraient y voir une occasion de se réinventer.
Sur son blog, la Banque mondiale s’est penchée sur l’évolution des services de mobile money chez quelques pays africains. Contre toute attente, le Nigéria accuse un certain retard sur ce point. Et pourtant, il s’agit de la première puissance économique en Afrique, devant l’Afrique du Sud.
Plus d’un demi-milliard d’euros, c’est le montant de la perte essuyée par Orange Bank au premier semestre de l’année. Elle le met sur le compte du coût d’acquisition des clients, d’autant qu’elle a perdu plus que cela durant la période de démarrage. Malgré tout, son service bancaire très complet alimente toujours la pression dans le secteur fortement concurrentiel des banques.
Dans le but de détenir des informations précises sur le profil type des clients titulaires d’un compte au sein des banques en ligne, une étude a été réalisée auprès de nombreux établissements de crédit. La plupart de ces clients sont affiliés à des banques classiques. Après la collecte et l’analyse des données, il s’avère que l’image qu’on fait des clients des banques digitales ne reflète pas vraiment la réalité. Les usagers de ces établissements de crédit ne sont pas tous des jeunes hyperconnectés, disposant de comptes bien garnis.
La néobanque allemande N26 vient de lancer un nouveau service d'épargne qui permet à chacun de faire des épargnes afin de réaliser plus tard un projet de vacances et d'achats. Espaces permet de mettre de l'argent de côté. Sa nouvelle fonctionnalité donne à tout client de la néobanque allemande d'ouvrir des sous-comptes à travers une application mobile et ce, d'une manière assez facile.