Les banques traditionnelles françaises et européennes sont malmenées depuis quelques années. En plus d’une conjoncture difficile, elles subissent la concurrence des acteurs en ligne, des banques mobiles et des fintechs. Pour continuer à attirer les clients et préserver leur rentabilité, elles sont obligées de réduire la taille de leur réseau, d’innover sur les produits et services tout en facturant toujours moins.
Important Avec les multiples évolutions réglementaires mises en place par l’Europe, les banques ont progressivement perdu leur monopole.
Après l’ouverture du marché des paiements en fin 2009, l’UE contraint les enseignes historiques à permettre aux tiers prestataires de services de paiement d’accéder aux données des clients. L’objectif affiché : encourager l’utilisation d’instruments de paiements innovants et pratiques.
Ces règles ont favorisé l’émergence de nouveaux services financiers conçus pour Internet et disponibles uniquement sur ce canal. Or, celui-ci étant aujourd’hui incontournable, les banques doivent passer par ces nouveaux acteurs pour distribuer leurs produits et services à un tarif compétitif, renonçant au passage à une partie de leur réseau exclusif.
Important Ces start-ups technologiques dynamiques piétinent les plates-bandes des banques dans des domaines aussi divers que le paiement, le financement participatif, l’assurance, le conseil financier, le crédit à la consommation, la gestion de patrimoine.
Afin de les encadrer ou de profiter de leur succès, les grands groupes bancaires rachètent certaines de ces jeunes pousses à fort potentiel ou leur ouvrent les portes de leurs incubateurs pour accélérer l’innovation.
Avec une croissance atone et des taux d’intérêt historiquement faibles, les marges des banques ont considérablement diminué, alors que de gros investissements sont nécessaires pour leur transformation digitale. Et elles ne peuvent plus espérer compenser sur les commissions et frais habituels.
Important En effet, les banques en ligne ont immédiatement instauré la gratuité de la tenue de compte et simplifié les démarches, permettant une inscription en quelques clics et supprimant pour certaines les conditions de ressources. Les néobanques vont encore plus loin en proposant des cartes immédiatement actives et paramétrables par le client ou la souscription de petits prêts à distance, etc.
Si ces différents acteurs peuvent se permettre une telle flexibilité et des prix nettement inférieurs, c’est grâce à la minimisation des coûts fixes :
Les banques lancent des services « annexes » à leurs métiers via des applications de gestion des notes de frais, de suivi budgétaire ou des échéances de remboursement de crédit, etc. Ces outils leur permettent de positionner des produits en lien avec leur expertise comme le coaching, la simulation financière, etc.
Si le conseiller humain reste indispensable, son rôle évolue. Désormais, il est là pour chercher les solutions les mieux adaptées à chaque individu dans une situation précise après analyse de son profil et de ses attentes.
Pour offrir cet accompagnement personnalisé et plus généralement pour s’adapter à l’évolution de l’univers bancaire, l’intelligence artificielle et la maîtrise des données sont cruciales.
Et en la matière, les banques doivent composer avec les géants du numérique, qui nourrissent eux aussi de grands projets dans le monde de la finance.
Pour rester dans la course, et garder des clients pour le moment majoritairement fidèles à leur banquier malgré l’ouverture du marché, l’agilité technologique et informatique est la clé.
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