Aujourd’hui, le marché financier accueille de plus en plus de nouveaux acteurs. Cette évolution marque ainsi la fin du monopole des banques traditionnelles. En France comme au Canada, cette situation constitue une réalité palpable. L’intégration de la digitalisation dans le secteur bancaire ne fait que renforcer la popularité de ces jeunes pousses.
À l’instar des marchés européen et asiatique, le secteur bancaire canadien assiste aussi à l’émergence de plusieurs offres numérisées. Apportées par les startup, ces formules sont très appréciées de la clientèle.
D’ailleurs, l’on constate que les banques traditionnelles sont aujourd’hui défiées par ces jeunes pousses. Leur force réside surtout dans leur capacité à octroyer une certaine autonomie de gestion à leurs clients, mais aussi dans la disponibilité et l’accessibilité de leurs conseillers.
Concernant particulièrement les prêteurs virtuels, ces établissements se distinguent sur le marché par l’application d’une faible tarification. D’ailleurs, les conseillers n’incitent pas les clients à souscrire à des produits annexes, pour les faire payer plus.
Si les banques virtuelles ont su se démarquer de la concurrence, c’est certainement grâce à la numérisation de leurs services. En effet, les outils en ligne qu’elles proposent sont à la fois efficaces et pratiques pour les usagers.
En ce sens, les prêteurs en ligne profitent de cet avantage pour élaborer des formules de plus en plus innovantes. Ainsi, pour une gestion autonome de l’emprunt, ces institutions financières émancipent leurs clients sur certains points, comme la modification des informations bancaires sur les prélèvements des mensualités, la simulation de l’amortissement en cas de remboursements anticipés ou, au contraire, sur le montant des pénalités encourues.
Outre cette liberté de gestion, ces enseignes digitales appliquent souvent une faible tarification pour des conditions plus intéressantes, par rapport à la moyenne sur le marché. À la grande satisfaction des clients, leurs conseillers sont également disponibles à tout moment pour un accompagnement sur-mesure. Cette situation s’explique, entre autres, par l’absence de structure physique.
Les usagers peuvent ainsi bénéficier des meilleures offres, sans nul besoin de passer par l’étape de la négociation. Un atout en plus, surtout suite aux dernières hausses de taux appliquées par la Banque du Canada.
D’ailleurs, pour juger de l’efficacité des avantages octroyés par les prêteurs virtuels, il suffit de se renseigner auprès d’un courtier hypothécaire inscrit à l’Organisme d’autoréglementation du courtage immobilier du Québec.
Aujourd’hui, les consommateurs s’adressent à un établissement de prêt principalement en fonction du taux offert. Ils ne prennent pas forcément en considération les différentes conditions qui en découlent. Or, il s’agit là d’une erreur fondamentale à ne pas commettre.
L’illustration est simple : pour l’achat d’un appareil électroménager, outre le prix, il est nécessaire de se focaliser sur ses caractéristiques. Le schéma est le même dans le secteur financier.
Pour les particuliers, la comparaison entre les différents établissements s’avère indispensable, voire impérative. Les critères à prendre en considération sont nombreux : taux en cas de pénalité, disponibilité des conseillers, accès aux services en ligne ou encore la possibilité de passer d’une formule à une autre.
Selon une étude Planiprêt, sur la totalité des contrats de prêt sur 5 ans, moins de 25% arrivent à terme. Le reste est refinancé avant la fin, ce qui augmente le nombre d’usagers pénalisés. Ce phénomène est souvent poussé par des raisons personnelles comme le divorce, le changement de banque ou les travaux de rénovation.
Pour ce qui est du calcul de ces frais de pénalité, l’on constate que l’écart entre les prêteurs en ligne et les banques traditionnelles est très important.
Pour démontrer cette réalité, l’on a comparé les coûts proposés par une banque classique avec ceux d’un prêteur virtuel sur un même contrat : crédit de 250 000 dollars souscrit en 2016 avec un terme de 5 ans, avec un taux de 2,89%, amorti sur 25 ans.
Chez le premier établissement, une pénalité pour bris d’engagement après 2 ans s’élève entre 7 000 et 10 000 dollars, tandis que l’enseigne numérique n’en demande que 1 700 à 2 000 dollars.
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