Dans un contexte de baisse des rendements pour les autres placements, pour faire fructifier un capital, la Bourse reste une bonne option. À condition de respecter quelques règles fondamentales, l’opération n’est pas aussi complexe et risquée que l’on croit. Type de placement, montant à miser, choix de l’intermédiaire… voici les points essentiels à connaître.
Acheter des actions en Bourse est aujourd’hui plus simple grâce aux courtiers en ligne. Pour des frais de transaction de l’ordre de 3 € à 10 €, un portefeuille rapporte des revenus réguliers, chaque fois que les grandes entreprises distribuent des dividendes.
Pour ceux qui préfèrent déléguer la gestion de leur portefeuille boursier, des professionnels proposent l’achat de parts via les sicav ou les fonds communs de placement (FCP). Le choix est large pour les épargnants, qui peuvent même accéder à des actions européennes, américaines, asiatiques, trackers, etc.
Sur un compte-titres ordinaire, l’investisseur paie 15,5 % de prélèvements sociaux et l’impôt sur le revenu (IR) pour ses revenus et plus-values. Toutefois, des allégements sont prévus.
La fiscalité est moins lourde avec un plan d’épargne en actions (PEA) de plus de 5 ans, l’IR étant supprimé sur les retraits. De même, pour un contrat d’assurance-vie de plus de 8 ans, seules les charges sociales sont prélevées en cas de retrait.
Pour minimiser les risques de perte en ligne, l’idéal est d’investir à long terme, au minimum sur 10 ans, selon les préconisations de l’AMF. Si l’on planifie des dépenses avant cinq ans, elle recommande ainsi d’autres types de placements moins « incertains ».
Il reste à déterminer le montant de la mise. À partir de quelques dizaines d’euros, les banques proposent un investissement en sicav pour un risque moindre.
Mais pour ceux qui décident de gérer leur portefeuille sans intermédiaire, un minimum de 10 000 € permet de diversifier sur une dizaine de valeurs, voire davantage en veillant à limiter les frais par transaction à 0,5 % à 1 %.
Les grandes banques de réseaux proposent une gamme de produits et services boursiers assez large, mais les frais bancaires sont généralement élevés. En passant soi-même ses ordres en ligne, le coût baisse, mais les droits de garde restent dus à la banque.
L’alternative la plus économique consiste à acheter des titres en direct en s’adressant aux courtiers en ligne, qui ne facturent pas de frais de garde.
La majorité des investisseurs se limitent aux grands noms du CAC 40, pourtant les marchés étrangers offrent de nombreuses opportunités. En effet, alors que la part de la France sur le total mondial des actions cotées n’est que de 3,5 %, l’Asie représente 20 % (dont 8 % pour le Japon) et les États-Unis, 55 %. De plus, entre 2000 et 2017, quand le CAC 40 accusait un repli de 15 %, l’indice Dow Jones des 30 premières actions américaines progressait de 100 %.
Oser les actions étrangères sur les secteurs d’activité dynamiques est un moyen efficace de répartir les risques et bénéficier d’un bon rendement.
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