Jusqu’ici, le voyageur se trouve face à un cruel dilemme au moment de régler ses dépenses à l’étranger : utiliser sa carte bancaire en sachant que les banques prélèvent des frais conséquents sur les paiements et retraits par carte à l’international ou payer directement en espèce avec la contrainte de s’encombrer de liquidités. Heureusement, des solutions existent, à l’instar de Ditto.
Preuve du succès croissant de la carte bancaire, elle attire un nombre croissant de fournisseurs issus de différents secteurs non bancaires. Ainsi, après Orange et Carrefour, la Fnac a lancé début mai sa carte MasterCard, qui combine les fonctions de moyen de paiement d’outil de fidélisation. En effet, pour tout achat effectué avec la carte, 1 % du montant est porté au crédit du compte fidélité de son titulaire. La banalisation de la carte bancaire n’est pas sans susciter des inquiétudes du côté des établissements traditionnels.
Moins d’un mois après Carrefour, et quelques semaines avant Orange, la Fnac lance sa carte de paiement à destination de ses cinq millions d’adhérents. Proposé en partenariat avec Crédit Agricole Consumer Finance, cet outil de paiement est utilisable dans l’ensemble du réseau MasterCard en France et à l’étranger. Elle permet par ailleurs de bénéficier de réductions et de chèques-cadeaux via le compte fidélité Adhérents Fnac.
On n’y prête presque plus attention tant ils font partie de notre quotidien. Ils, ce sont les distributeurs automatiques de billets. Ces automates bancaires qui permettent d’effectuer des retraits d’argent à tout moment dans la rue. Aujourd’hui, avec la montée en puissance des moyens de paiement alternatifs, comme le sans contact, leur avenir semble pourtant menacé.
Un réajustement, notamment sur les frais de transfert de PEL a été enregistré lors de la publication des nouvelles grilles tarifaires des onze fédérations du groupe Crédit Mutuel-CIC. Ce réajustement prendra son effet à partir du 1er juillet 2017. Une nouvelle flambée s’annonce dans les tarifs bancaires. Un événement qui marquera l’année 2017.
En matière de paiement mobile, la carte bancaire a jusqu’ici fait de la résistance. Les choses risquent cependant d’évoluer beaucoup plus rapidement, notamment aux États-Unis. En effet, d’ici la fin de l’année, il sera possible de retirer de l’argent sans carte bancaire, mais uniquement avec un smartphone. Les banques et les gestionnaires de DAB indépendants passent au retrait 3.0. Ce changement concernerait le quart des distributeurs du pays.
Les clients qui voyagent régulièrement et qui utilisent de ce fait plusieurs devises sont dans le collimateur des nouveaux arrivants sur le marché bancaire. Travelex annonce le lancement de sa banque mobile, Ditto. Ce service sera disponible en France à partir du mois de juillet. Ciblant la même clientèle, Ipagoo, la néobanque du groupe Orwell, est opérationnelle depuis quelques mois déjà.
Aujourd’hui, les agences bancaires ne ressemblent plus à celles d’il y a quelques années. En effet, les conseillers y sont moins nombreux. Les clients fréquentent également moins les lieux. Pour mieux les initier aux applications bancaires, certaines banques ont choisi de développer le self-service en agence avec de nouveaux distributeurs.
Spendesk révolutionne la gestion des dépenses en entreprise. La fintech abolit l’usage des cartes affaires et des notes de frais, en mettant à la disposition des collaborateurs des cartes prépayées MasterCard. Cette solution innovante facilite la vie des salariés et permet aux responsables financiers de gagner du temps.
Les moyens de paiement se multiplient : chèques, cartes bancaires, applications de paiement via téléphone mobile, paiement sans-contact… Le choix est tel que, selon une récente étude Ipsos, 35 % des consommateurs européens et américains déclarent utiliser « rarement » de l’argent liquide. 33 % seraient même prêts à abandonner complètement billets et pièces pour leurs paiements. Quels seraient les avantages d’une économie sans argent liquide ?