La plupart des placements financiers affichent aujourd’hui des rendements qui tendent à désespérer les investisseurs. Ce qui n’est pas le cas pour les marchés boursiers qui, eux, connaissent une véritable popularité. Mais avant d’investir dans la Bourse, il faut en connaitre toutes les étapes à franchir, ainsi que les diverses techniques y afférant afin de prendre le minimum de risque, en sachant que de tels investissements n’en sont jamais vraiment épargnés.
Les opérations boursières se caractérisent par deux activités majeures : l’achat et la vente d’actions. La première étape de l’investissement en Bourse commence par l’ouverture d’un compte dans un établissement financier reconnu par le marché.
Aucune opération ne peut, en effet, être effectuée sans que l’investisseur ne détienne un compte bancaire, car c’est ce qui permet à l’investisseur de domicilier ses liquidités, de recevoir ses plus-values et d’enregistrer les dividendes qui lui seront versés. À savoir qu’un dividende peut être recueilli sous forme d’argent ou d’actions.
Aussi, pour ouvrir un compte en bourse, l’investisseur a le choix entre : s’adresser directement à un intermédiaire classique, ou prendre contact avec un courtier en ligne. Et bien que le recours au banquier soit la solution la plus simple, les courtiers en ligne offrent des avantages intéressants, tels que la gratuité des frais de tenue de compte.
Après avoir ouvert un compte en bourse, l’investisseur doit en premier lieu l’alimenter afin de pouvoir effectuer les premières transactions. Il est important de ne pas se lancer dans des opérations sans en évaluer son appétence au risque. En effet, c’est sa faculté à choisir le moment opportun des achats qu’il effectue qui permet à l’investisseur de se définir en tant que véritable spéculateur, boursicoteur ou simple acteur.
Par ailleurs, la connaissance des marchés financiers est un atout majeur pour pouvoir effectuer la mise, mais la détention d’un capital conséquent demeure la meilleure arme pour se lancer dans une telle activité.
Les opérateurs boursiers peuvent être confrontés à plusieurs types d’ordre. Cependant, le choix le plus judicieux est d’utiliser ceux dont le cours est limité. Dans ce cas, l’acheteur définit sa limité par rapport au plus haut tarif auquel il sera en mesure d’acheter l’action. Cette limite correspondra aussi à la somme minimale qu’il pourra accepter dans le cas où devra vendre son acquis.
Quant aux ordres « au marché » et les « ordres à la meilleure limite », ces catégories présentent des dangers pour les acteurs, car ces derniers ne permettent d’avoir aucune assurance sur les prix d’exécution des opérations, aussi bien pour l’achat que pour la vente.
Certains acteurs optent aussi pour des opérations boursières à crédit pour les titres, en choisissant le service de règlement différé ou SRD. Ainsi, le paiement ou la livraison des titres peut attendre la fin du mois boursier, au lieu d’être effectué au moment de la validation de la transaction.
En revanche, il n’est pas donné à tout le monde de se servir de ce « système à effet de levier ». Seuls les acteurs qui possèdent déjà une parfaite maîtrise du marché boursier peuvent s’aventurer à l’utiliser et prétendre à de bons résultats.
Le marché boursier tient sur un équilibre entre le produit et son prix. Aussi, afin de garantir la réussite d’une vente, un acteur doit fixer une limite raisonnable de son prix.
Il est à noter que lorsqu’une action a été mise à prix plus chère que ce qu’elle ne le vaut en réalité, son détenteur risque de laisser dormir son portefeuille des années durant, à moins qu’il ne décide d’aligner son tarif.
Pour ce faire, l’acteur doit procéder à une veille boursière afin de toujours rester informé des variations qui s’opèrent sur le marché. Les sociétés, les professionnels et les médias délivrent des informations précieuses qui permettent à l’investisseur de prendre les bonnes décisions et de choisir le moment opportun pour se lancer.
Parallèlement, l’existence des outils tels que le price earning ratio ou PER pour évaluer le prix apposé à une action, ainsi que le bénéfice par action ou BNA qui permet de mesurer la capacité d’accroissement des bénéfices, présente de grands avantages.
Un compte en Bourse un le lien qui permet à l’investisseur d’intégrer le marché boursier. Les acteurs du marché préfèrent le plan d’épargne en actions ou PEA car ce type de compte leur offre une exonération d’impôt sur les gains qu’ils obtiennent, alors qu’avec un compte-titres, les plus-values doivent se soumettre au régime fiscal en vigueur, c'est-à-dire à l’impôt sur le revenu :
Généralement, les principaux soucis des investisseurs en Bourses résident dans la limitation des versements sur compte. Mais depuis le 1er janvier 2014, les PEA ont établi un plafond de 150 000 euros afin de permettre à ces acteurs d’avoir une marge de manœuvre plus aisée.
Toutefois, le PEA n’est pas en mesure de cautionner toutes les opérations boursières que l’investisseur veut accomplir. En effet, si ce dernier a l’intention de faire acquisition de valeurs étrangères, la détention d’un compte-titres sera alors une obligation.
En outre, pour les entreprises dont le siège social n’a pas été enregistré dans un pays de l’Union européenne, la souscription au PEA ne sera pas faisable. Autre contrainte de ce type de compte boursier : l’investisseur se trouve dans l’obligation de maintenir son capital, ou de réinvestir dans le PEA pendant une durée minimale de cinq ans.
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