Compte Nickel : un projet abouti
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Publié le par Meilleurtaux Banques
Le Compte Nickel est en passe de devenir la première néobanque rentable.
Le service de compte prépayé « sans banque » qui s’ouvre en ligne ou chez un buraliste affiche des performances incroyables. À sa troisième année de lancement, le Compte Nickel a en effet réalisé 20 millions d’euros de chiffre d’affaires et passé le cap des 465 000 clients. Détails !
Présentation du Compte Nickel
Prévu être baptisé « No bank » à ses débuts, le Compte Nickel se présente aujourd’hui comme une néobanque. Cette banque nouvelle génération offre au souscripteur un compte « sans banque » dans lequel il peut déposer son argent, mais sans découvert autorisé.
Il bénéficie par contre d’un RIB ainsi que d’une carte MasterCard pour régler des achats en magasin ou retirer de l’argent. Un Compte Nickel s’ouvre en cinq minutes auprès d’un buraliste ou en ligne. Il faut toutefois noter que l’ouverture doit être finalisée dans un bureau de tabac.
Le client dispose d’une application pour la consultation de son solde en temps réel. Il faut par ailleurs préciser que pour le cantonnement de l’argent des usagers, il y a tout de même une banque partenaire, le Crédit Mutuel Arkéa, qui assure cette tâche.
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Des performances record
La Financière des Paiements Électroniques (FPE), entreprise à l’origine du Compte Nickel, deviendra l’une des startups européennes au démarrage le plus réussi. La jeune pousse qui, depuis sa création, a levé près de 35 millions d’euros va célébrer en février prochain les trois ans du lancement commercial du Compte Nickel.
Durant ses trois années d’activité, ce service affiche des performances dans le vert étant donné qu’à la fin du mois de décembre dernier, il enregistre plus de 465 000 usagers et 278 millions d’euros de dépôts clients.
nous ouvrons 26 000 comptes par mois, on ne constate pas de baisse : Compte Nickel est le numéro un des ouvertures de comptes en France, devant le premier des nouveaux entrants
Hugues Le Bret, cofondateur et président de la FPE
L’ancien directeur de la communication du groupe Société Générale et ex-Directeur Général de Boursorama Banque renchérit que « les banques en ligne ont mis vingt ans à gagner 2,5% de part de marché, nous avons conquis 0,7% du marché en 34 mois d'existence ».
