À l’ère du digital, les individus sont de plus en plus connectés. Les téléchargements, les jeux en ligne, le partage de vidéos, de fichiers MP3 sur les réseaux sociaux, tous autant de pratiques que chacun utilise au quotidien. Pourtant, qu’en est-il du problème de la gestion des ressources de ces données numériques partagées, une fois que la personne est décédée ? Explications.
Le décès d’un proche est une étape douloureuse pour son entourage. Par ailleurs, il s’avère nécessaire de prendre les dispositions nécessaires, tant sur le plan administratif que « numérique ».
En effet, on a souvent tendance à négliger la finalité de nos données numériques, partagées et diffusées sur Internet. Jusqu’ici, la meilleure alternative, qui est la moins compliquée d’ailleurs, serait de laisser à son entourage ses codes et identifiants.
À défaut, certaines plateformes et réseaux sociaux ont pris des mesures afin de résoudre le problème de gestion des données numériques rapidement et ainsi pouvoir fermer le compte du défunt. Ces derniers l’on dénommé « mort numérique».
Dans une société où les téléchargements et les diffusions d’informations sont pratiques courantes, l’on se soucie moins de la finalité de ces données, surtout après la disparition d’un proche. Par ailleurs, lorsqu’une personne décède, ses héritiers ou ses proches n’ont pas forcément accès à ses données stockées comme son mail ou sa plateforme Cloud.
Afin de pallier le problème de gestion des données informatiques suite au décès d’un individu, notamment sur les réseaux sociaux et les Cloud informatiques, le meilleur comportement serait de laisser à ses proches de confiance ses identifiants et ses mots de passe dans une enveloppe fermée, dans la mesure du possible.
Cette mesure évite également à ses proches des procédures rébarbatives pendant le règlement d’une éventuelle succession.
Lors d’un changement de code d’accès intempestif, la seule contrainte de cette alternative réside dans le fait que le titulaire doive également mettre à jour ses informations et les notifier.
Suivant l’avancée digitale, l’on peut espérer que chaque individu présent sur Internet puisse être doté d’une identité numérique. En attendant ce dispositif révolutionnaire, certaines grandes plateformes prévoient le paramétrage d’une possible « mort numérique » à son utilisateur, qui permet à un tiers de clôturer un compte.
Pour le réseau social Facebook, un membre n’a qu’à désigner un légataire qui se chargera de son compte après son décès. Cet « héritier » aura le choix entre clôturer ledit compte ou plutôt l’orienter vers un profil commémoratif.
Sur les autres réseaux sociaux, comme Twitter ou LinkedIn, n’ont pas de politique de « transmission des droits » sur le compte proprement dite. En effet, une fois le certificat de décès communiqué, ces plateformes procéderont à la fermeture du compte du défunt.
Pour sa part, Google a déjà mis en place un dispositif s’apparentant à un « testament numérique », en guise d’anticipation à la suppression d’un compte en cas de décès, toutefois avec une possibilité d’envoyer les données à des tiers.
Quant à PayPal, il est le seul à demander plusieurs documents, dont les documents d’identité du défunt, un testament ou encore un certificat de décès. Cette procédure, afin de pouvoir procéder à la fermeture du compte ainsi qu’à la récupération des fonds.
Chez Amazon et Apple, la politique de fermeture est plus radicale bien que très claire : aucune possibilité de léguer une bibliothèque personnelle.
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