En 2020, les Fintech ont connu un début d’année prometteur. La pandémie de Covid-19 a toutefois perturbé le développement du secteur. La crise sanitaire a même entraîné la disparition des structures les plus fragiles. Cet événement historique a néanmoins accéléré la démocratisation des services dématérialisés, surtout durant le confinement. Depuis, les investisseurs s’intéressent encore plus à ces nouveaux acteurs.
La suppression de l’offre bancaire gratuite est une tendance qui se propage dans toute l’Europe, même en France. Nombre de succursales ont annoncé la fin prochaine de cette gratuité dans leur établissement. La dernière en date ? N26. En effet, la banque de dernière génération allemande va lancer une nouvelle option payante qui éclipsera sans doute celle à zéro frais.
Les banques n’ont pas attendu le Covid-19 pour intégrer les nouvelles technologies dans leurs produits et services. L’épidémie a toutefois agi comme un catalyseur et a accéléré l’adoption de ces outils numériques par un plus grand nombre de clients. Les exemples de deux établissements canadiens, TD et Scotia, sont particulièrement révélateurs.
Il est courant qu’en début d’année, les institutions bancaires renouvellent leurs grilles tarifaires. Globalement, 2021 sera une année placée sous le signe de la hausse des frais bancaires. Sauf que, concurrence oblige, les banques ne vont pas chercher à aligner leurs tarifs et, forcément, les disparités seront nombreuses. Il appartient aux clients de bien choisir l’établissement qui leur convient.
Depuis le début de la pandémie, les ménages ont épargné en masse. Des placements comme le livret A ou le LDDS, quelque peu tombés en désuétude en raison de leur faible rendement, ont ainsi connu un nouvel âge d’or. Mais fait assez rare pour être souligné : au mois d’octobre dernier, sur leurs fameux livrets, les Français ont effectué plus de retraits que de dépôts.