Les nouvelles habitudes de consommation des clients bancaires bouleversent le secteur financier. Au vu des nouvelles attentes des usagers, de nouveaux acteurs émergent en effet sur le marché bancaire. Résultat, la concurrence s’y fait rude. Outre les banques en ligne, les néobanques viennent mettre la pression aux établissements bancaires traditionnels. Pour limiter les pertes de parts de marché, ces derniers sont sommés à réagir. Tour d’horizon !
La transformation digitale s’accélère dans tous les secteurs commerciaux. Toujours plus connectés, les consommateurs axent leurs attentes sur des services innovants à même de simplifier et de fluidifier le parcours client. Faisant du Smartphone et des applications leurs meilleurs alliés, les utilisateurs plébiscitent les prestations numériques et désirent effectuer la majorité de leurs opérations en ligne.
Le secteur financier n’échappe pas à cette tendance. En effet, les clients bancaires, de plus en plus autonomes, préfèrent aujourd’hui réaliser leurs transactions en ligne. Cette nouvelle habitude favorise le développement des banques digitales qui viennent concurrencer les établissements traditionnels.
Avec les nombreuses mesures législatives facilitant le changement de banque, les choses se compliquent pour les enseignes bancaires de réseau qui voient une bonne partie de leurs clients migrer vers les établissements numériques.
Les banques en ligne ont été les premières à mettre la pression sur les établissements bancaires traditionnels. Avec leurs services innovants et leurs tarifs avantageux, les banques numériques attirent de plus en plus d’usagers.
Plus récemment, de nouveaux acteurs ont fait irruption sur le marché. Il s’agit des néobanques, ces enseignes lancées par des acteurs non bancaires. Ce sont des banques nouvelle génération qui proposent des services entièrement dématérialisés. Répondant aux attentes des clients les plus connectés, ces banques mobiles viennent grignoter des parts de marché importantes.
Parmi les derniers arrivés sur le marché figure Orange Bank, la néobanque du leader du commerce en télécommunication en France. Gratuite et d’utilisation simple, cette banque 100% mobile promet de bousculer le secteur avec son offre « disruptive ». Les dirigeants d’Orange annoncent en effet une rupture en termes de prix et de transparence. Les futurs clients de la néobanque peuvent s’attendre à une expérience fluide et entièrement digitalisée.
Face à la concurrence de ces nouveaux acteurs, les banques traditionnelles ont intérêt à agir. D’ailleurs, elles ont déjà amorcé leur riposte.
Pour ne pas perdre davantage du terrain, les établissements de réseau ont notamment décidé de s’appuyer sur les services innovants des FinTech. En procédant à l’acquisition de ces jeunes pousses spécialisées dans le créneau des technologies financières, les enseignes traditionnelles comptent développer de nouveaux services à valeur ajoutée pour les usagers.
C’est ainsi par exemple que le Crédit Agricole a rejoint le Crédit Mutuel Arkéa au capital de Linxo, spécialiste en gestion de budget et en agrégation de comptes bancaires.
On peut par ailleurs citer le cas de BNP Paribas qui a mis la main sur le Compte-Nickel, cette solution qui permet l’ouverture d’un « compte sans banque » en 5 minutes, chez un buraliste.
Pour les banques traditionnelles, l’enjeu se résume à la mise en place d’un écosystème de services incorporant la bancarisation classique, sans toutefois s’y limiter.
Faites des économies, suivez l’activité de vos comptes et simulez un achat immobilier ou un crédit consommation.
Meilleurtaux Placement Reprenez le pouvoir sur votre épargne.Suivez la performance de tous vos contrats (assurance vie, retraite, immobilier, défiscalisation) et re-versez facilement. Garantie 0 paperasse.
Meilleurtaux Partenaires L’application gagnante pour les professionnels.Augmentez votre chiffre d’affaires immobilières, gagnez en efficacité lors des premières visites, développez votre business au delà de l’immobilier et travaillez votre image et votre réputation.
Attention, vous pouvez être sollicités par de faux conseillers Meilleurtaux vous proposant des
crédits et/ou vous demandant de transmettre des documents, des fonds, des coordonnées bancaires,
etc.
Soyez vigilants · Meilleurtaux ne demande jamais à ses clients de verser sur un compte les sommes
prêtées par les banques ou bien des fonds propres, à l’exception des honoraires des courtiers. Les
conseillers Meilleurtaux vous écriront toujours depuis une adresse mail xxxx@meilleurtaux.com
Vous avez un doute sur l’un de vos contacts ou pensez être victime d’une fraude ? Consultez notre guide.