Septembre 2020

Les banques classiques entament leur révolution numérique

bureaux à la banque

Les fintechs, et plus précisément les banques numériques, sont en train de monter en puissance, leurs services innovants plaisent aux particuliers. Certains professionnels du secteur s’accordent même à dire qu’elles représentent l’avenir du système bancaire de demain. Face à ce phénomène, les principaux groupes bancaires ont décidé de s’allier à eux.

L’accumulation de liquidités post-confinement est favorable aux spécialistes de l’aide à l’épargne

Jeune homme avec un smartphone et des pièces d’argents

Yomoni est une société de gestion fondée en 2015 par l’entrepreneur français Sébastien d’Ornano. Elle se spécialise dans l’aide à l’épargne et à l’investissement. Concrètement, la start-up conseille les particuliers dans le choix des solutions permettant de faire croître leurs capitaux. Cette activité est particulièrement prometteuse face au phénomène de surépargne constaté en France depuis le confinement.

Les néobanques se multiplient sur le marché suisse

Un homme dans un café tenant sa carte de crédit et son smartphone pour faire un service bancaire en ligne.

Dans une annonce récente, Credit Suisse a présenté au public sa future offre bancaire 100 % digitale, baptisée CSX. Elle permettra aux particuliers de gérer entièrement leur argent à partir d’une application mobile dédiée. Les utilisateurs pourront par ailleurs accéder à divers produits et services bancaires via leur smartphone dès cet automne.

Des banques européennes accusées de soutenir l’extraction de pétrole en Amazonie

extraction de pétrole

Les communautés indigènes équatoriennes pointent du doigt le double discours des institutions bancaires européennes qui se déclarent engagées dans la lutte contre le bouleversement climatique, mais qui pourtant investissent massivement dans le commerce de pétrole en Amazonie. Six banques se retrouvent sous le feu des critiques.

Le centre de Londres est menacé par les effets de la crise sanitaire

piétons à Londres

La capitale du Royaume-Uni continue d’évoluer au ralenti, malgré la reprise des écoles début septembre. Le gouvernement s’attendait pourtant à un redémarrage significatif des activités à la rentrée. Déplorant plus de 41 500 victimes de la pandémie, les Britanniques ne semblent pas encore prêts à revenir dans les quartiers d’affaires. Ainsi, les commerçants locaux commencent à s’inquiéter pour leur avenir.

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