Avec le reconfinement, des milliers de commerçants ont dû fermer leurs portes. En parallèle, les grandes surfaces ne sont pas autorisées à vendre les produits « non essentiels ». Pour le Black Friday et les fêtes de fin d’années, les consommateurs n’ont donc d’autre choix que les achats en ligne. Une aubaine pour les acteurs du secteur.
Les dispositifs de sécurisation relatifs aux transactions bancaires en ligne recommandées dans les textes du DSP2 devaient être pleinement effectifs avant la fin de cette année. Or, il semble que les établissements et les acteurs concernés ne sont pas pressés de les appliquer. Afin de remédier à la situation, l’Observatoire en charge de la sécurisation des opérations de paiement en ligne invite ces derniers à prendre les mesures requises pour leur mise en œuvre.
Ant Group, connu pour son service Alipay, est sur le point de lever 30 millions de dollars à Hongkong, soit un record historique mondial pour une introduction en bourse. Filiale financière du géant chinois du commerce en ligne Alibaba, cette entreprise serait en passe de franchir le cap des 300 milliards de dollars de capitalisation boursière, ce qui équivaut à celle de la plus grande banque américaine JP Morgan. L’occasion pour Jack Ma, le fondateur d’Alibaba, de démontrer son leadership sur les marchés financiers du monde.
Sans doute échaudées par le premier confinement et son impact sur leurs revenus, les banques en ligne ont revu leur prime de bienvenue. Les nouveaux clients de Hello bank! et Monabanq ne bénéficieront pas des sommes habituelles. ING fait exception en accordant un avantage supplémentaire aux souscripteurs de la formule ING Intégrale.
La méfiance des banques vis-à-vis de la cryptomonnaie et de tout ce qui l’entoure est de notoriété publique. L’enquête menée par l’Adan tend à le confirmer. Mais la cohabitation est-elle vraiment impossible entre les deux types entités ? L’obtention du visa AMF par les entreprises spécialisées dans les cryptodevises pourrait entraîner un revirement de la situation.