Les vacances finies, il faut désormais penser à la rentrée scolaire. Pour les ménages français, c’est la période de l’année où les dépenses s’envolent. Selon le nombre d’enfants et leur niveau de scolarité, le budget pour la rentrée peut frôler les 1800 euros. Pour financer ces dépenses, les ménages recourent rarement au crédit.
Les parlementaires ont récemment été appelés à mettre en place certaines transformations pour éviter les facturations excessives en ce qui concerne les frais d’incidents bancaires. L’association des consommateurs UFC Que Choisir a en effet demandé l’instauration de ces réformes dans le but de réduire les dépenses appliquées aux clients en difficultés.
Cette année, les banques traditionnelles ont été fidèles à leur tradition pré-rentrée : la course aux prêts étudiants. Afin de soutenir ces derniers dans le financement de leurs études universitaires, les établissements de crédit assouplissent leurs conditions d’octroi de prêt. Mais ils le font également pour fidéliser cette clientèle qui est de plus en plus attirée par les banques en ligne.
Depuis le Brexit, bon nombre d’entreprises sises au Royaume-Uni veulent délocaliser leurs activités dans d’autres pays européens. L’Hexagone tire profit de cette situation pour inciter les investisseurs à migrer vers son territoire. Certaines régions comme l’Île-de-France semblent présenter de nombreux atouts non négligeables qui intéressent les financiers, outre les ressources dans la capitale française.
La santé économique en Turquie représente une menace potentielle pour le secteur bancaire en Europe. La situation en Italie semble encore plus inquiétante. Les banques tricolores dont Crédit Agricole et très particulièrement BNP Paribas se retrouvent au premier rang dans le cas où la situation venait à se propager. Les perspectives de résultat ont du moins arrêté leur régression.