Visa supporte le déploiement de moyens de paiement innovants
Dans l’univers du paiement, les innovations se multiplient. Mais en France, pionnier du paiement par carte à puce parfaitement sécurisée par un code, cet outil devrait résister encore quelques décennies. De nouveaux moyens viennent cependant répondre aux besoins spécifiques créés par l’essor du digital. Le groupe Visa organise actuellement un concours pour repérer les solutions les plus prometteuses développées par les jeunes acteurs européens de la fintech.
Un réseau mondial pour déployer les innovations des startups
Malgré l’entrée des GAFA et des opérateurs de la téléphonie mobile dans le monde des paiements, Visa garde toute confiance en ses atouts pour conserver sa position dominante actuelle.
Important En effet, un service de paiement doit fonctionner dans le monde entier et avec tous les types de commerces, quelle que soit leur taille.
Et Visa dispose de l’expertise et du réseau nécessaires pour le lancement immédiat et l’essor d’innovations à l’international. L’entreprise offre ainsi aux startups le support indispensable au déploiement de leur création.
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Le choix des innovations guidées par les attentes des utilisateurs
Considérant la multiplication des initiatives en matière de moyens de paiement, d’aucuns pourraient redouter la sollicitation excessive de ces supports, avec le risque que les solutions susceptibles d’apporter une vraie valeur ajoutée pour les utilisateurs ne passent inaperçues, noyées dans la masse.
Mais pour Visa, l’ouverture aux propositions des jeunes pousses dynamiques et la multiplication des tests ne constituent pas un engagement à tout conserver. Seules les attentes des clients guident les projets à mener à terme, et elles diffèrent selon les pays. Par exemple, les bijoux connectés de la banque Barclays, qui ont connu le succès au Royaume-Uni, pourraient difficilement s’imposer comme moyen de paiement dans l’Hexagone.
Important Ainsi, la clé est de se focaliser sur l’efficacité économique des innovations et faire attention à la gadgétisation.
C’est le cas de la fonction biométrique introduite dans la carte bancaire, qui n’a pas apporté le gain de sécurité escompté, mais a majoré le prix de 5 euros, dans un contexte de réduction des coûts dans l’activité de détails des banques, surtout sous la pression d’une concurrence accrue avec l’arrivée des nouveaux acteurs non bancaires. Ce sont autant de paramètres à prendre en considération dans la décision de déployer ou non une solution.
