La crise du covid-19 a permis aux banques de réaliser qu’il est tout à fait possible de numériser les différents processus. Malgré les contraintes liées aux dispositions mises en œuvre pour assurer la sécurité sanitaire des employés et des clients, les banques ont pu continuer à offrir le même niveau de services en privilégiant les solutions à distance.
Le paysage bancaire prend un nouveau tournant face à la mondialisation et à la croissance des échanges. C’est dans ce sens que la plateforme b-Link a vu le jour pour répondre à ces nouveaux défis. Elle permet, en effet, de connecter les banques et les fournisseurs de services. Mais cette plateforme facilite aussi grandement les paiements pour les sociétaires.
D’après une récente étude YouGov pour Tink, 63 % des établissements financiers européens se sont efforcés d’augmenter leurs investissements en matière d’open banking depuis 2019. Cette démarche permet aux banques comme aux Fintech de se conformer à la réglementation en vigueur dans le secteur et d’étoffer rapidement leur gamme d’offres.
Depuis son lancement en juillet 2015, la banque en ligne a connu un essor phénoménal à travers le monde, y compris au Royaume-Uni, son état d’origine. En Irlande du Nord, la Fintech a récemment atteint la barre symbolique d’un million d’adhérents. Un chiffre exceptionnel si on tient compte du fait que ce pays abrite près de cinq millions d’habitants.
Aux premiers stades du projet, les banques centrales étaient supposées gérer les CBDC (central bank digital currency, pour monnaies numériques de banque centrale). Tommaso Mancini-Griffoli, du FMI, a récemment révélé une nouvelle tendance privilégiant les partenariats entre les institutions financières publiques et privées. Cette formule permettra de répartir les coûts et les risques liés à la cryptomonnaie.