La situation sanitaire au Canada s’est vue empirer ce mois d’Août. En effet, le variant Delta gagne du terrain dans le pays. À cet effet, le confinement met en difficulté le fonctionnement des activités locales, d’où la diminution de la productivité des entreprises. Étant donné que les risques sont multiples, l’unique alternative prise par les banques s’agit logiquement de la vaccination.
Les primes accordées en 2021 pourraient grimper jusqu’à 35% pour les salariés des banques et des fonds de Wall Street. C’est ce qui ressort du rapport prévisionnel récemment publié par le cabinet d’étude Johnson Associates profitant de l’occasion pour mettre en exergue les éléments lui permettant de tabler sur un aboutissement aussi positif.
Les stress tests menés par la BCE et l’ABE au début de cette année ont montré que les grands groupes et établissements bancaires de la zone euro sont suffisamment armés pour affronter les éventuels chocs économiques et financiers sur l’horizon 2021-2023. Les résultats ont également révélé la stabilité du système bancaire français en cas de détérioration des facteurs macroéconomiques.
D’ici deux mois, l’organisme bancaire exigera une présence presque constante pour ses collaborateurs en trading en salle de marché. Décriée par certains employés, cette décision est conditionnée par l’évolution du contexte sanitaire. À la différence de certains métiers, le télétravail se révélerait plus difficile à appliquer en ce qui concerne la durée.
Ces derniers temps, les grandes banques de l’Europe et des États-Unis se pressent pour un seul et même objectif : augmenter le salaire de ses analystes juniors. Dans l’histoire du marché des affaires, il s’agit d’une action jamais vue. Force est de reconnaître que ce mouvement demeure ainsi un souci de haute importance pour chaque institution financière.