Un partenariat stratégique entre les fintechs Raisin et Yolt
Les fintechs sont désormais bien ancrées dans l’univers de la finance, attirant de plus en plus de clients et grappillant des parts grandissantes de marché aux acteurs traditionnels. Malgré un succès déjà probant, elles continuent malgré tout de chercher des relais de croissance. C’est dans cet esprit que la fintech Raisin a décidé de s’associer à Yolt.
Renforcer les synergies
Bien qu’elles se spécialisent dans la finance, les start-ups Raisin et Yolt ne proposent pas exactement les mêmes types de services. La première commercialise des produits d’épargne, tandis que la seconde a développé un outil de gestion de finances personnelles.
Mais à travers ce partenariat, les deux entreprises vont pouvoir mettre en commun leur expertise respective afin d’élargir leur champ de compétences et de proposer de nouveaux produits à leurs clients.
Des croissances fulgurantes pour les deux fintechs
Un comparatif de banque n’est même pas nécessaire pour constater le succès rencontré par Raisin depuis son lancement, il y a maintenant 6 ans. Depuis sa création, la jeune pousse allemande s’est imposée comme une référence en Europe en matière d’épargne.
Il faut dire aussi qu’elle a bien su s’entourer. Elle a développé des partenariats avec de nombreuses banques de renom et totalise aujourd’hui un volume d’épargne de plus de 13 milliards d’euros.
Ce succès sera mis au profit de Yolt, l’agrégateur de comptes. Ses 900 000 clients pourront désormais souscrire à des produits d’épargne et effectuer différentes opérations qui étaient auparavant impossibles.
Les transactions vont être plus sécurisées et les clients de Raisin pourront passer par l’application de l’agrégateur pour gérer leur compte.
En unissant leur force et en faisant profiter à l’une les expériences de l’autre, Raisin et Yolt vont marquer encore un peu plus de leur empreinte le monde des fintechs et celui de la banque en général.
C’est également un message fort envoyé à la concurrence, laquelle se fait de plus en plus rude, malgré la jeunesse du concept de « banque nouvelle génération ».