Shine : une banque qui prend soin de ses collaborateurs
La néobanque Shine compte bien révolutionner à sa manière l’univers dans lequel elle exerce. Pendant que ses homologues s’évertuent à choyer leurs clients, Shine souhaite, avant tout, faire en sorte que ses salariés puissent travailler dans des conditions optimales. Elle affiche également son engagement envers la protection de l’environnement.
Une grande liberté pour aiguiser le sens de la responsabilité des employés
D’après le fondateur de Shine, Nicolas Reboud,
« L’efficacité des collaborateurs passe par la liberté qui leur est accordée dans le cadre de la réalisation de leurs tâches ».
Nicolas Reboud.
Selon lui,
« Pour une productivité optimum, l’employé doit être heureux sur son lieu de travail ».
Nicolas Reboud.
Dans cette optique, le numéro un de la banque, en accord avec son associé, offre à ses 60 collaborateurs en free-lance la possibilité de fixer eux-mêmes leurs horaires de travail. Sur leur temps libre, ils peuvent également proposer leurs services à d’autres entreprises, puisqu’ils ne sont liés par aucun contrat d’exclusivité.
Toujours pour préserver le confort de ses employés, Shine leur accorde, tous les mois, un jour de congé supplémentaire.
Autre initiative marquante de la start-up, le « congé second parent » qui donne un congé de 35 jours au collaborateur, dont la conjointe vient d’accoucher.
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Un engagement écologique prononcé
Pour faire bonne figure dans une comparaison de néobanque, il ne suffit donc pas pour ces nouveaux acteurs financiers d’attirer un nombre élevé de clients ou de dégager d’énormes profits. Ainsi, afin d’améliorer l’image de la start-up et lui permettre de se démarquer de ses concurrents, les fondateurs de Shine ont aussi accordé une grande importance à la préservation de l’environnement.
Même si la démarche occasionne des frais supplémentaires, la néobanque tient à mesurer régulièrement son impact écologique. Et alors qu’aucune loi ne l’y oblige, la start-up fait preuve de transparence quant à ses émissions de gaz à effet de serre. Le public a donc pu savoir que Shine et l’ensemble de ses collaborateurs ont rejeté 125 T de CO2 en un an, une quantité jugée très faible.
Le concept ainsi que le « business model » de Shine ont réussi à séduire les investisseurs. Au cours de ses deux années d’existence, les tours de table que la néobanque a menés lui ont rapporté plus de 10 millions d’euros.
Pour information, la clientèle de Shine se compose essentiellement de professionnels, à savoir des entreprises et les travailleurs indépendants.
