Les banques doivent accélérer leur digitalisation

Concept digital

Les établissements bancaires classiques doivent se plier aux exigences de la digitalisation. L’essor du numérique s’accompagne en effet d’un changement de comportement des consommateurs, ce qui contraint les banques à évoluer pour s’adapter.

Le Comité de Bâle renchérit que l’application imminente de nouvelles dispositions règlementaires accélère le mouvement. Celles-ci favorisent l’émergence et la multiplication de nouveaux acteurs sur le marché bancaire, ce qui renforce la concurrence et oblige les enseignes bancaires à accélérer leur transformation digitale. Tour d’horizon !

L’utilisation massive d’Internet et l’utilisation croissante des Smartphone impactent considérablement sur de nombreux secteurs d’activité. Ayant initialement ignoré les conséquences de la digitalisation sur leurs activités, les banques traditionnelles commencent à s’interroger et à réagir depuis quelques années.

Les statistiques sont sans appel, les usagers utilisent davantage la mobilité dans leur quotidien, notamment pour réaliser les opérations bancaires classiques ou pour adopter les services digitaux des banques numériques, des Fintech et des néobanques. C’est ainsi que les établissements de crédit classiques doivent plus que jamais se digitaliser.

Notre sélection des promos
La sélection meilleurtaux
150€ Offerts
BoursoBank
Voir l'offre
Voir l'offre
La sélection meilleurtaux
200 € Offerts
BforBank
Voir l'offre
Voir l'offre
La sélection meilleurtaux
160 € Offerts
Monabanq
Voir l'offre
Voir l'offre
La sélection meilleurtaux
80 € Offerts
Hello bank!
Voir l'offre
Voir l'offre
Je compare les offres bancaires

Un usage croissant des services bancaires proposés par les Fintech

Au printemps dernier, Harris Interactive a mené une enquête pour le compte du cabinet Deloitte. Baptisée « Les Français et les Fintechs », l’enquête révèle que 25% des personnes interrogées sont prêtes à quitter leur enseigne bancaire.

Avec l’application de la loi Macron facilitant le changement de banque en février 2017, la question est devenue d’autant plus légitime. Bien que les sondés ne connaissent pas les Fintech, ils ont davantage recours à leurs services : comparateurs de services et de frais bancaires (26%), transfert d’argent et cagnotte (15%), crowdfunding (15%), agrégation de comptes, outils automatisés pour fournir des conseils d’investissement, assurance et santé connectées (respectivement entre 5% et 9%).

La vision du Comité de Bâle

Le Comité de Bâle, comité de supervision bancaire réunissant les régulateurs internationaux du secteur, vient d’annoncer que les banques et les superviseurs seront tenus d’évoluer pour faire face aux enjeux liés aux innovations dans l’univers financier.

Parallèlement, la directive révisée sur les services de paiement (DSP2) entrera en vigueur dès l’année prochaine. Celle-ci offre aux acteurs non bancaires la possibilité de réaliser des transactions financières via les comptes en banque des usagers qui leur donnent l’autorisation. Cette mesure promet d’accroître la mobilité bancaire.

Dans ce contexte, le Comité de Bâle a élaboré plusieurs scénarios qui répondent chacun à l’interrogation suivante : les établissements bancaires pourront-ils faire face à l’essor des Fintech ? Le comité de supervision bancaire envisage et liste toutes les possibilités : triomphe, remplacement, déclassement ou disparition des banques traditionnelles ou encore coopération positive avec les jeunes pousses.

Le Comité de Bâle estime que si les établissements de crédit veulent éviter de s’engranger dans une spirale néfaste, elles ont intérêt à améliorer significativement leur gouvernance comme leurs gestions des cyber-risques. Les autorités de supervision doivent de leur côté faire monter en compétences leurs équipes et mettre à niveau leurs outils.

La tâche s’avère toutefois délicate étant donné qu’il convient de trouver un équilibre entre le maintien de la stabilité financière et la protection des usagers. En parallèle, il faut éviter de freiner les innovations et l’agilité des Fintech.

Archives

Tout Meilleurtaux dans votre poche Meilleurtaux Reprenez le pouvoir sur votre budget

Faites des économies, suivez l’activité de vos comptes et simulez un achat immobilier ou un crédit consommation.

Meilleurtaux Placement Reprenez le pouvoir sur votre épargne.

Suivez la performance de tous vos contrats (assurance vie, retraite, immobilier, défiscalisation) et re-versez facilement. Garantie 0 paperasse.

Meilleurtaux Partenaires L’application gagnante pour les professionnels.

Augmentez votre chiffre d’affaires immobilières, gagnez en efficacité lors des premières visites, développez votre business au delà de l’immobilier et travaillez votre image et votre réputation.

application meilleurtaux
fraude Vigilance fraude et accompagnement

Attention, vous pouvez être sollicités par de faux conseillers Meilleurtaux vous proposant des crédits et/ou vous demandant de transmettre des documents, des fonds, des coordonnées bancaires, etc.
Soyez vigilants · Meilleurtaux ne demande jamais à ses clients de verser sur un compte les sommes prêtées par les banques ou bien des fonds propres, à l’exception des honoraires des courtiers. Les conseillers Meilleurtaux vous écriront toujours depuis une adresse mail xxxx@meilleurtaux.com
Vous avez un doute sur l’un de vos contacts ou pensez être victime d’une fraude ? Consultez notre guide.